Armel Job

Armel Job

Le bon coupable

Présentation 1'24

Professeur agrégé de philologie en Belgique, Armel Job a enseigné le grec et le latin pendant plus de 20 ans.
Après avoir écrit plusieurs nouvelles, il s’essaie avec succès au roman et publie en 2000, à 58 ans, son premier roman « La femme manquée » qui recevra notamment le Prix Emmanuel Roblès.
Suivent plusieurs titres portés par une écriture classique certes mais brillante, précise et travaillée. « Baigneuse sur un rocher », « Les fausses innocences » prix Jean Giono en 2005 ou « Tu ne jugeras point », prix Simenon 2010.
Avec ce nouveau roman « Le bon coupable », Armel Job place son action dans une petite bourgade belge, au cœur de l’été 1960. Une fillette traverse la rue du village et se fait renverser par une voiture, tuée sur le coup.
Le chauffard ne s’arrête pas, personne n’a rien vu. Après enquête, deux pistes possibles, un pauvre type connu pour boire plus que de raison et un notable qui n’est autre que le procureur du roi.
Et le roman, tel un conte philosophique, de nous entrainer dans une vérité qui n’est pas forcément celle que l’on veut entendre, entre les faiblesses des uns, les petits secrets des autres, tout cela devant le regard d’un couple désaccordé qui pleure son enfant.
Un très bon roman, une écriture qui fait alterner l’émotion et le cynisme. C’est le nouveau titre d’Armel Job, « Le bon coupable » chez Robert Laffont. Armel Job est sur WTC. Professeur agrégé de philologie en Belgique, Armel Job a enseigné le grec et le latin pendant plus de 20 ans.
Après avoir écrit plusieurs nouvelles, il s’essaie avec succès au roman et publie en 2000, à 58 ans, son premier roman « La femme manquée » qui recevra notamment le Prix Emmanuel Roblès.
Suivent plusieurs titres portés par une écriture classique certes mais brillante, précise et travaillée. « Baigneuse sur un rocher », « Les fausses innocences » prix Jean Giono en 2005 ou « Tu ne jugeras point », prix Simenon 2010.
Avec ce nouveau roman « Le bon coupable », Armel Job place son action dans une petite bourgade belge, au cœur de l’été 1960. Une fillette traverse la rue du village et se fait renverser par une voiture, tuée sur le coup.
Le chauffard ne s’arrête pas, personne n’a rien vu. Après enquête, deux pistes possibles, un pauvre type connu pour boire plus que de raison et un notable qui n’est autre que le procureur du roi.
Et le roman, tel un conte philosophique, de nous entrainer dans une vérité qui n’est pas forcément celle que l’on veut entendre, entre les faiblesses des uns, les petits secrets des autres, tout cela devant le regard d’un couple désaccordé qui pleure son enfant.
Un très bon roman, une écriture qui fait alterner l’émotion et le cynisme. C’est le nouveau titre d’Armel Job, « Le bon coupable » chez Robert Laffont. Armel Job est sur WTC.

Professeur agrégé de philologie en Belgique, Armel Job a enseigné le grec et le latin pendant plus de 20 ans. Après avoir écrit plusieurs nouvelles, il s'essaie avec succès au roman et publie en 2000, à 58 ans, son premier roman « La femme manquée » qui recevra notamment le Prix Emmanuel Roblès.
Suivent plusieurs titres portés par une écriture classique certes mais brillante, précise et travaillée. « Baigneuse sur un rocher », « Les fausses innocences » prix Jean Giono en 2005 ou « Tu ne jugeras point », prix Simenon 2010.
Avec ce nouveau roman « Le bon coupable », Armel Job place son action dans une petite bourgade belge, au cœur de l'été 1960. Une fillette traverse la rue du village et se fait renverser par une voiture, tuée sur le coup. Le chauffard ne s'arrête pas, personne n'a rien vu. Après enquête, deux pistes possibles, un pauvre type connu pour boire plus que de raison et un notable qui n'est autre que le procureur du roi. Et le roman, tel un conte philosophique, de nous entrainer dans une vérité qui n'est pas forcément celle que l'on veut entendre, entre les faiblesses des uns, les petits secrets des autres, tout cela devant le regard d'un couple désaccordé qui pleure son enfant.
Un très bon roman, une écriture qui fait alterner l'émotion et le cynisme.
C'est le nouveau titre d'Armel Job, « Le bon coupable » chez Robert Laffont
Armel Job est sur WTC.

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  • Professeur agrégé de philologie en Belgique, Armel Job a enseigné le grec et le latin pendant plus de 20 ans. Après avoir écrit plusieurs nouvelles, il s'essaie avec succès au roman et publie en 2000, à 58 ans, son premier roman « La femme manquée » qui recevra notamment le Prix Emmanuel Roblès.Suivent plusieurs titres portés par une écriture classique certes mais brillante, précise et travaillée. « Baigneuse sur un rocher », « Les fausses innocences » prix Jean Giono en 2005 ou « Tu ne jugeras point », prix...Le bon coupable d'Armel Job - Présentation - Suite
    Philippe Chauveau :Bonjour Armel Job.Armel Job :Bonjour.Philippe Chauveau :Merci d'avoir accepté notre invitation à l'occasion de la sortie chez Robert Laffont de votre nouveau titre, le 16ème si je ne me trompe pas. Ça s'appelle le « Le bon coupable ». Depuis 2000, c'était la sortie de votre premier titre « La femme manquée », c'est un joli parcours. Comment analysez-vous votre parcours littéraire, tous ces titres qui se sont succédé, est-ce qu'il y a une suite logique ou est-ce qu'à chaque fois c'est un peu de la...Le bon coupable d'Armel Job - Portrait - Suite
    Philippe Chauveau :Armel Job, avec votre 16ème titre aux éditions Robert Laffont, « Le bon coupable », vous nous racontez une histoire tragique que vous situez au coeur de l'été 1960 mais c'est une histoire qui pourrait se passer de nos jours. C'est une fillette de 10 ans qui se fait mortellement renversée par une voiture. Le chauffard ne s'arrête pas, il n'y a personne, personne n'a vu l'accident, on ramasse le corps de la fillette et on la ramène à ses parents qui sont bouleversés. On va savoir qu'il y a deux personnages...Le bon coupable d'Armel Job - Le livre - Suite
    Frederic Lapeyre On va lui dire merci pour les libraires parce que ça fait partie des rares bouquins actuellement qui sont très bien écrit et ça ça fait vraiment du bien. On sent qu'il y a un véritable écrivain derrière, c'est une histoire très forte, ce sont des personnages plus qu'attachants, ce sont des personnages qui vivent. En fait ça m'a fait penser, quand j'ai commencé à le lire et jusqu'à la fin d'ailleurs, au premier Simenon, vraiment l'écriture française comme on les aime, tout en rondeur, avec du vocabulaire,...Le bon coupable d'Armel Job - L'avis du libraire - Suite