Armel Job

Armel Job

Le bon coupable

L'avis du libraire 1'27

On va lui dire merci pour les libraires parce que ça fait partie des rares bouquins actuellement qui sont très bien écrit et ça ça fait vraiment du bien.
On sent qu'il y a un véritable écrivain derrière, c'est une histoire très forte, ce sont des personnages plus qu'attachants, ce sont des personnages qui vivent.
En fait ça m'a fait penser, quand j'ai commencé à le lire et jusqu'à la fin d'ailleurs, au premier Simenon, vraiment l'écriture française comme on les aime, tout en rondeur, avec du vocabulaire, avec des personnages qui vivent.
C'est la vraie France des années 60. Il a vraiment su nous remettre dans cette situation. On a peu l'impression d'être dans un film de Jacques Demy d'ailleurs. C'est vraiment intéressant et tout est attachant.
Alors bien sûr il y a ce prétexte de la mort de cette petite fille qui va faire de ce roman je dirais entre un roman et un policier, une intrigue. Surtout ce qui est très bien, c'est que c'est un livre amoral et ça ça nous fait du bien.
Enfin on a pas une belle fin. Enfin les personnages ne finissent pas en happy end. Enfin ce sont des vrais personnages, on a l'impression qu'ils vivent et c'est la vraie vie.
Déjà on peut le recommander absolument à tout le monde, c'est aussi bien pour les hommes que pour les femmes.
Si vous avez envie d'un livre prenant, bien écrit et qui se passe en France, qui nous rappelle pleins de souvenirs, plein d'enfance, plein de chaleur, plein d'odeur, prenez Armel Job, c'est vraiment un superbe livre.

Frederic Lapeyre

On va lui dire merci pour les libraires parce que ça fait partie des rares bouquins actuellement qui sont très bien écrit et ça ça fait vraiment du bien. On sent qu'il y a un véritable écrivain derrière, c'est une histoire très forte, ce sont des personnages plus qu'attachants, ce sont des personnages qui vivent. En fait ça m'a fait penser, quand j'ai commencé à le lire et jusqu'à la fin d'ailleurs, au premier Simenon, vraiment l'écriture française comme on les aime, tout en rondeur, avec du vocabulaire, avec des personnages qui vivent. C'est la vraie France des années 60. Il a vraiment su nous remettre dans cette situation. On a peu l'impression d'être dans un film de Jacques Demy d'ailleurs. C'est vraiment intéressant et tout est attachant. Alors bien sûr il y a ce prétexte de la mort de cette petite fille qui va faire de ce roman je dirais entre un roman et un policier, une intrigue. Surtout ce qui est très bien, c'est que c'est un livre amoral et ça ça nous fait du bien. Enfin on a pas une belle fin. Enfin les personnages ne finissent pas en happy end. Enfin ce sont des vrais personnages, on a l'impression qu'ils vivent et c'est la vraie vie. Déjà on peut le recommander absolument à tout le monde, c'est aussi bien pour les hommes que pour les femmes. Si vous avez envie d'un livre prenant, bien écrit et qui se passe en France, qui nous rappelle pleins de souvenirs, plein d'enfance, plein de chaleur, plein d'odeur, prenez Armel Job, c'est vraiment un superbe livre.

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  • PORTRAIT
  • LE LIVRE
  • L'AVIS DU LIBRAIRE
  • Professeur agrégé de philologie en Belgique, Armel Job a enseigné le grec et le latin pendant plus de 20 ans. Après avoir écrit plusieurs nouvelles, il s'essaie avec succès au roman et publie en 2000, à 58 ans, son premier roman « La femme manquée » qui recevra notamment le Prix Emmanuel Roblès.Suivent plusieurs titres portés par une écriture classique certes mais brillante, précise et travaillée. « Baigneuse sur un rocher », « Les fausses innocences » prix Jean Giono en 2005 ou « Tu ne jugeras point », prix...Le bon coupable d'Armel Job - Présentation - Suite
    Philippe Chauveau :Bonjour Armel Job.Armel Job :Bonjour.Philippe Chauveau :Merci d'avoir accepté notre invitation à l'occasion de la sortie chez Robert Laffont de votre nouveau titre, le 16ème si je ne me trompe pas. Ça s'appelle le « Le bon coupable ». Depuis 2000, c'était la sortie de votre premier titre « La femme manquée », c'est un joli parcours. Comment analysez-vous votre parcours littéraire, tous ces titres qui se sont succédé, est-ce qu'il y a une suite logique ou est-ce qu'à chaque fois c'est un peu de la...Le bon coupable d'Armel Job - Portrait - Suite
    Philippe Chauveau :Armel Job, avec votre 16ème titre aux éditions Robert Laffont, « Le bon coupable », vous nous racontez une histoire tragique que vous situez au coeur de l'été 1960 mais c'est une histoire qui pourrait se passer de nos jours. C'est une fillette de 10 ans qui se fait mortellement renversée par une voiture. Le chauffard ne s'arrête pas, il n'y a personne, personne n'a vu l'accident, on ramasse le corps de la fillette et on la ramène à ses parents qui sont bouleversés. On va savoir qu'il y a deux personnages...Le bon coupable d'Armel Job - Le livre - Suite
    Frederic Lapeyre On va lui dire merci pour les libraires parce que ça fait partie des rares bouquins actuellement qui sont très bien écrit et ça ça fait vraiment du bien. On sent qu'il y a un véritable écrivain derrière, c'est une histoire très forte, ce sont des personnages plus qu'attachants, ce sont des personnages qui vivent. En fait ça m'a fait penser, quand j'ai commencé à le lire et jusqu'à la fin d'ailleurs, au premier Simenon, vraiment l'écriture française comme on les aime, tout en rondeur, avec du vocabulaire,...Le bon coupable d'Armel Job - L'avis du libraire - Suite