Gaëlle Nohant

Gaëlle Nohant

La part des flammes

Présentation 1'35"

Le 4 Mai 1897 reste une date funeste dans la mémoire collective. Ce jour-là, plus de 120 personnes périrent à Paris dans ce que l'on appela alors l'incendie du Bazar de la charité.
Et si cet événement à eu un tel retentissement, c'est que les victimes, essentiellement des femmes, étaient issues pour le plupart de la haute bourgeoisie ou de l'aristocratie.
Se basant sur ce drame, avec « la Part des flammes » Gaëlle Nohant, qui signe ici son deuxième roman, nous entraîne dans une formidable histoire mêlant personnages fictifs et authentiques comme la duchesse d’Alençon, la soeur de Sissi qui périt elle-même dans cet incendie.
Elle nous invite à suivre deux héroïnes, Violenne de Raezal et Constance d'Estingel, représentative de la condition féminine de l'époque dans les classes aisées.
Mais on y évoque aussi les inégalités sociales, l'importance de la presse, la politique, le rôle de la religion.
Et ce drame mis en lumière résonne alors comme le glas d'un monde qui court à sa perte.
L'auteur nous offre un roman ample, foisonnant, avec une écriture maitrisée, alerte, capable de dépeindre aussi bien un drame collectif que les tréfonds de l'âme humaine
et une excellente peinture de la fin de ce 19 siècle engoncée dans le carcan de ces traditions désuètes et des conventions étouffantes.
Gros coup de coeur donc pour ce roman publié chez Eloise d'Ormesson et Gaëlle Nohant est sur WebTvCulture.

Le 4 Mai 1897 reste une date funeste dans la mémoire collective. Ce jour-là, plus de 120 personnes périrent à Paris dans ce que l'on appela alors l'incendie du Bazar de la charité. Et si cet événement à eu un tel retentissement, c'est que les victimes, essentiellement des femmes, étaient issues pour le plupart de la haute bourgeoisie ou de l'aristocratie. Se basant sur ce drame, avec « la Part des flammes » Gaëlle Nohant, qui signe ici son deuxième roman, nous entraîne dans une formidable histoire mêlant personnages fictifs et authentiques comme la duchesse d’Alençon, la sœur de Sissi qui périt elle-même dans cet incendie. Elle nous invite à suivre deux héroïnes, Violenne de Raezal et Constance d'Estingel, représentative de la condition féminine de l'époque dans les classes aisées. Mais on y évoque aussi les inégalités sociales, l'importance de la presse, la politique, le rôle de la religion. Et ce drame mis en lumière résonne alors comme le glas d'un monde qui court à sa perte. L'auteur nous offre un roman ample, foisonnant, avec une écriture maitrisée, alerte, capable de dépeindre aussi bien un drame collectif que les tréfonds de l'âme humaine et une excellente peinture de la fin de ce 19 siècle engoncée dans le carcan de ces traditions désuètes et des conventions étouffantes. Gros coup de cœur donc pour ce roman publié chez Eloise d'Ormesson et Gaëlle Nohant est sur WebTvCulture.

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  • Le 4 Mai 1897 reste une date funeste dans la mémoire collective. Ce jour-là, plus de 120 personnes périrent à Paris dans ce que l'on appela alors l'incendie du Bazar de la charité. Et si cet événement à eu un tel retentissement, c'est que les victimes, essentiellement des femmes, étaient issues pour le plupart de la haute bourgeoisie ou de l'aristocratie. Se basant sur ce drame, avec « la Part des flammes » Gaëlle Nohant, qui signe ici son deuxième roman, nous entraîne dans une formidable histoire mêlant personnages...La part des flammes de Gaëlle Nohant - Présentation - Suite
    Philippe Chauveau :Bonjour Gaëlle Nohant, vous êtes dans l'actualité avec ce roman qui vient de paraitre aux éditions Héloïse d'Ormesson, « La part des flammes ». C'est votre deuxième livre, il y avait eu précédemment « L'ancre des rêves » et un recueil de nouvelles. Mais vous m'avez confié que l'écriture était un rêve de petite fille, vous avez eu envie d'écrire dès vos huit ans parait-il ?Gaëlle Nohant :Oui, après avoir lu « Jane Eyre », donc quand j'avais huit ans et après avoir refermé le livre je me...La part des flammes de Gaëlle Nohant - Portrait - Suite
    Philippe Chauveau :Nous sommes le 4 mai 1897, il y a un événement qui va bouleverser la France, mais aussi l'étranger, c'est ce fameux Bazar de la charité et l'incendie. Je me permets juste de resituer cet événement, c'est une vente de charité organisée par des membres de la haute bourgeoisie. Pourquoi avoir eu envie de vous emparer de ce fait divers pour la trame de votre deuxième roman ?Gaëlle Nohant :Parce que c'est un fait divers qui s'était un peu perdu dans la mémoire collective, alors qu'à l'époque il a été traité...La part des flammes de Gaëlle Nohant - Le livre - Suite
    Nous avons beaucoup aimé « La part des flammes » de Gaëlle Nohant, c'est un coup de coeur de ce début d'année et qui remporte déjà un beau succès auprès de nos lecteurs. C'est un très bon roman, après il y a une véritable accroche par rapport à l'époque puisque l'on est en 1897 et il y a en toile de fond l'histoire du bazar de la charité et surtout cet incendie effroyable qui est un fait marquant de la fin du XIX ème siècle à Paris.Il y a une véritable maitrise à la fois de la structure, car comme dans tout bon...La part des flammes de Gaëlle Nohant - L'avis du libraire - Suite