Tatiana de Rosnay

Tatiana de Rosnay

Célestine du Bac

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Un succès mondial, ça vous colle à la peau. Tatiana de Rosnay en a fait l’expérience en 2013 avec « Elle s’appelait Sarah », adapté au cinéma et traduit dans une quarantaine de langues. Tatiana de Rosnay avait pourtant déjà sept titres à son actif dont « L’appartement témoin », « La mémoire des murs » ou « Moka ». Et déjà, dans ces premiers romans, on retrouvait les thèmes chers à l’auteur, la filiation, les secrets de famille, l’importance de lieux et des habitations sur nos vies. Ce dont on ne s’étonnera pas quand on sait qu’elle a grandi dans la fascination du roman de Daphné du Maurier, « Rebecca » qui répondait à ces critères.

Au fil des années et des publications, Tatiana de Rosnay a fidélisé un large public qui aime à retrouver la spontanéité de son écriture mais aussi l’originalité de ses intrigues et de ses personnages. Car Tatiana de Rosnay aime surprendre et quand on ouvre l’un de ses romans, on ne sait jamais ce vers quoi l’auteur veut nous entrainer mais on se laisse embarquer avec enthousiasme.

Le hasard, les coups de pouce du destin, les clins d’œil inattendus font aussi partie de l’histoire de Tatiana de Rosnay.

Au hasard d’un déménagement, elle ressort un vieux manuscrit d’il y a 30 ans, que les éditeurs avaient rejeté. Elle le montre à l’équipe éditoriale Robert Laffont qui, cette fois-ci, est séduit par l’histoire et les personnages. Et voici donc Martin Dujeu et Célestine du Bac de retrouver une vie de héros de papier. Mais des héros de l’ordinaire, des êtres cabossés qui vont se rencontrer quand tout les opposait.

Martin Dujeu, 18 ans, mal dans sa peau depuis la mort de sa mère, incompris de son père et qui se rêve écrivain. Et en bas de chez lui, dormant sur des cartons sous une porte cochère, Célestine, qui vit dans la rue depuis des années et raconte sa vie dans son journal intime.

De ce point de départ, Tatiana de Rosnay tisse une jolie toile où l’amitié est le maître mot, une aventure qui vous mènera de la grisaille de Paris au soleil de l’Atlas sur les traces familiales, une fable pleine de sensibilité qui vous mettra du baume au cœur.

Une histoire qui nous invite à nous pencher sur notre propre parcours et à rechercher l’essentiel de nos vies.

Quant au personnage de Célestine, vous le garderez longtemps en mémoire et nul doute que vous ne regarderez plus comme avant ces anonymes, ces sans voix que l’on croise chaque jour dans nos rues en détournant le regard.

« Célestine du bac » de Tatiana de Rosnay est publié chez Robert Laffont.

  • PRÉSENTATION
  • Un succès mondial, ça vous colle à la peau. Tatiana de Rosnay en a fait l’expérience en 2013 avec « Elle s’appelait Sarah », adapté au cinéma et traduit dans une quarantaine de langues. Tatiana de Rosnay avait pourtant déjà sept titres à son actif dont « L’appartement témoin », « La mémoire des murs » ou « Moka ». Et déjà, dans ces premiers romans, on retrouvait les thèmes chers à l’auteur, la filiation, les secrets de famille, l’importance de lieux et des habitations sur nos vies. Ce dont on ne...Poussière blonde de Tatiana Rosnay (de) - Présentation - Suite