Agnès Martin-Lugand

Agnès Martin-Lugand

Entre mes mains, le bonheur se faufile

Le livre 5'20

Dans ce nouveau titre, Agnès Martin-Lugand, Entre mes mains le bonheur se faufile, nous allons faire connaissance avec une jeune femme, elle s'appelle Iris, ils vivent en province avec son mari Pierre, qui lui, travaille dans un hôpital, est médecin en hôpital.
Iris à toujours rêvé de travailler dans le milieu de la mode, et puis elle va découvrir au cours d'une réunion de famille, que ses parents, finalement, se sont opposés à son rêve sans qu'elle le sache.
Ce qui va lui ouvrir une nouvelle perspective puisqu'elle va prendre une formation et découvrir ce milieu de la mode. Ce qui est intéressant avant de parler du livre, des personnages.
C'est que cet univers de la mode vous a toujours fascinée et vous remerciez à la fin du livre, les femmes de votre famille qui vous on fait grandir dans le bruit des machines à coudre Singer.
Oui, effectivement, il y a toujours eu des machines à coudre chez moi.
Des bouts de tissus, des bobines de fil.
Oui, oui j'ai toujours vu ma maman faire des robes, des jupes, des sacs pour moi et mes sœurs. J'aurais pu aussi remercier les hommes de ma famille, puisque mon grand-père lui même était fourreur et il créait ses manteaux de fourrures.
Même au delà des femmes de ma famille, des hommes ont été derrière des machines à coudre donc oui c'est un bruit... Je suis couturière du dimanche aussi. J'ai ma Singer. Donc oui c'est pas tant le milieu de la mode qui m'a intéressée, c'est la confection,
la couture, de faire quelque chose avec ses mains.
Ce que l'on peut transmettre dans la création des robes et des tenues. Alors il y a plusieurs thématiques dans votre ouvrage. Il y a le couple, un couple d'une trentaine d'années avec ses difficultés, ses enthousiasmes, ses doutes.
Il y a cette jeune femme qui a 30 ans, qui a envie de changer de vie. Elle travaille au départ dans une banque où elle s'ennuie royalement et donc elle décide de faire une formation. Et puis après il y a ces autres personnages, notamment cette femme Marthe que l'on va découvrir.
Qui est une femme ambitieuse, une femme qui a bien mené sa barque, une femme puissante dans le milieu de la mode. Donc plusieurs thématiques que vous abordez et dans lesquelles Iris va se faufiler un petit peu pour reprendre l'esprit du titre.
Vous aviez envie d'aborder tous ces sujets à travers ce personnage ?
C'était vraiment, avec Iris, ce que je voulais aborder c'était la quête de soi, la quête d'identité, c'est à dire qu'elle est à un tournant de sa vie, où elle se prend en mains, où finalement il sera peut être trop tard pour elle.
Elle a conscience qu'elle est en train de se perdre et finalement en prenant cette décision de lâcher la banque, de faire cette formation de couture pour enfin assouvir sa passion.
Elle va être amenée à rencontrer des personnages différents, des personnes qui vont avoir des influences sur sa vie. Finalement c'est tous les rapports humains qui vont aussi l'aider à se construire et à savoir qui elle est.
Détail important, c'est que pour suivre cette formation Iris va devoir quitter la Province, où elle vit avec son époux Pierre, pour monter à Paris. Ca aussi c'est important parce que du coup ça dérègle une vie bien réglée, on rencontre d'autres personnes et ça peut tout faire vaciller.
Oui, c'est vraiment prendre le risque de mettre sa vie en l'air, de tout mettre par-terre. On ne sait pas, elle va au devant de l'inconnu. En plus elle n'imagine absolument pas effectivement rencontrer une femme comme Marthe, qui prends très vite de l'influence sur elle,
qui lui fait découvrir quelque chose et qui lui permet aussi de voir qui elle pourrait être. Et c'est ce qui est déstabilisant aussi pour son mari parce que au fur et à mesure, il ne reconnaît plus sa femme. Il ne sait plus trop aussi, quoi faire pour elle finalement.
Parlons de ce personnage important dans le roman, Marthe, cette femme de pouvoir, cette femme d'influence qui va prendre Iris sous sa coupe, qui va lui faire prendre conscience de ses compétences, des ses qualités, mais qui va être aussi un peu tentaculaire.
D'où vient-elle cette femme, Marthe. Vous avez utilisé des gens que vous connaissiez pour vous inspirer d'elle ?
Non, non, au tout début quand j'ai commencé à construire le roman, vraiment dans ma tête, Marthe était toujours une femme de pouvoir, influente et qui voulait un petit peu prendre Iris dans sa toile. Et puis au fur et à mesure,
je me suis fais embarquée justement par ce côté autoritaire, limite dominatrice avec Iris. Je me suis fait embarquée. Marthe, m'a embarquée aussi, avec son caractère.
Est-ce qu'Iris vous ressemble par certains côtés ? Puisque vous aussi, vous étiez psychologue, vous avez changé de vie pour l'écriture. Peut être êtes vous vous aussi venue à Paris pour découvrir un autre univers, est-ce qu'il y a des morceaux de vous dans ce personnage ?
Fondamentalement, oui, les raccourcis peuvent être faits, mais je dirais que Iris comme Diane dans mon précédant roman, elles ont quelque chose de moi, on ne peut pas ne pas donner un peu de soit à ses personnages principaux.
J'essaye de la nourrir avec des émotions qui me sont propres, après elle a un caractère et une vie qui lui est tout à fait propre, qui n'a rien avec la mienne. Oui j'y ai mis de moi mais je rêverais, tout comme Diane, de les rencontrer toutes les deux.
Un mot sur les hommes de ce roman, qui n'ont pas forcément le beau rôle. Alors il y en a forcément qui tirent leur épingle du jeu, je pense à Jacques, je pense à Philippe. Mais si l'on parle de Gabriel, si l'on parle de Pierre, l'époux d'Iris, ils ne sont pas forcément sympathiques.
Non, je dirais que Pierre, lui, il est complètement absorbé dans ces traditions familiales, dans ces traditions de bourgeois, il ne voit pas autre chose, il en a pas l'envie, il est heureux tel qu'il est. Après il y a un écart qui se crée avec Iris, parce que elle, elle aspire à autre chose.
Le personnage de Gabriel, c'est des rencontres qui l'ont fait devenir ce qu'il est aujourd'hui. Et finalement c'est un personnage beaucoup plus complexe que ce qu'on imagine de prime abord quand on le rencontre au début. Parce qu'il n'en est pas là pour rien.
Vous êtes une observatrice attentive de notre société, de la façon dont chacun vie, mène sa propre barque. C'est ce qui vous nourri, pour écrire vos histoires ?
Peut-être.
C'est très contemporain comme roman.
Oui, la thématique que j'aborde, sans que l'histoire soit la même avec la mienne, je me suis aussi posé cette question là et je me rends compte que beaucoup de personnes se la pose, homme comme femme.
Je vais pas m'asseoir à une terrasse de café et regarder les gens évoluer, ça je le fais pas. Mais je me pose des questions, j'aime cogiter, j'aime ruminer sur des moments de rupture, des moments de changement dans les vies, c'est ça qui m'intéresse fondamentalement.
Un mot sur votre écriture pour Entre mes mains le bonheur se faufile, on a un peu l'impression d'entrer dans un journal intime. C'est un peu comme si Iris nous racontait son histoire. Vous écrivez à la première personne, pourquoi ce choix ?
C'est instinctif. C'est instinctif, dès que je commence à écrire, j'écris à la première personne, certainement parce que j'ai besoin de me fondre totalement avec mon personnage principal.
C'est à dire que quand je suis en phase d'écriture ou même de construction du scénario, de l'histoire, je vis avec. Elle est tout le temps là. Je suis dans un espèce de collage avec mon personnage principal, j'aime retranscrire ces émotions brutes.
Telles qu'elle les pense, telles qu'elle les vit, les réactions de son corps... C'est ça qui me plait en fait.
C'est à dire que vous avez du mal à la quitter ?
Oui.
Puisqu'elle vit avec vous pendant plusieurs mois ?
Oui, c'est toujours très compliqué. Le point final, le moment où le roman est prêt. Enfin là quand il est parti chez l'imprimeur... Voilà, il fallait que je la laisse partir, il fallait que j'apprenne à vivre sans.
Alors les lecteurs me le rende derrière, parce que quand je vois qu'elle vit à travers les lecteurs qui me contactent, qui me disent : « On a été avec Iris pendant tant de jours, tant d'heures.
On l'a suivie... » Ca me rassure, elle vit encore. Il y a la période de transition, il faut couper le cordon avec et du coup recréer un nouveau cordon avec un nouveau personnage. Il faut savoir se jauger à nouveau.
Justement vous avez fait le choix d'une fin ouverte. Est-ce qu'on peut imaginer plus tard retrouver Iris, Gabriel, Pierre, tous ces personnages ?
Je ne sais pas. Pour Iris, je ne sais pas. Peut être qu'un jour il y aura de leur nouvelles. C'est pas une certitude, pour le moment je les laisse tranquilles.
Agnès Martin-Lugand c'est votre deuxième titre, aux éditions Michel Lafont, votre roman Entre mes mains le bonheur se faufile. Merci beaucoup.
Merci à vous.

Philippe Chauveau :
Dans ce nouveau titre, Agnès Martin-Lugand, Entre mes mains le bonheur se faufile, nous allons faire connaissance avec une jeune femme, elle s'appelle Iris, ils vivent en province avec son mari Pierre, qui lui, travaille dans un hôpital, est médecin en hôpital. Iris à toujours rêvé de travailler dans le milieu de la mode, et puis elle va découvrir au cours d'une réunion de famille, que ses parents, finalement, se sont opposés à son rêve sans qu'elle le sache. Ce qui va lui ouvrir une nouvelle perspective puisqu'elle va prendre une formation et découvrir ce milieu de la mode. Ce qui est intéressant avant de parler du livre, des personnages. C'est que cet univers de la mode vous a toujours fascinée et vous remerciez à la fin du livre, les femmes de votre famille qui vous on fait grandir dans le bruit des machines à coudre Singer.

Agnès Martin-Lugand :
Oui, effectivement, il y a toujours eu des machines à coudre chez moi.

Philippe Chauveau :
Des bouts de tissus, des bobines de fil.

Agnès Martin-Lugand :
Oui, oui j'ai toujours vu ma maman faire des robes, des jupes, des sacs pour moi et mes sœurs. J'aurais pu aussi remercier les hommes de ma famille, puisque mon grand-père lui même était fourreur et il créait ses manteaux de fourrures. Même au delà des femmes de ma famille, des hommes ont été derrière des machines à coudre donc oui c'est un bruit... Je suis couturière du dimanche aussi. J'ai ma Singer. Donc oui c'est pas tant le milieu de la mode qui m'a intéressée, c'est la confection, la couture, de faire quelque chose avec ses mains.

Philippe Chauveau :
Ce que l'on peut transmettre dans la création des robes et des tenues. Alors il y a plusieurs thématiques dans votre ouvrage. Il y a le couple, un couple d'une trentaine d'années avec ses difficultés, ses enthousiasmes, ses doutes. Il y a cette jeune femme qui a 30 ans, qui a envie de changer de vie. Elle travaille au départ dans une banque où elle s'ennuie royalement et donc elle décide de faire une formation. Et puis après il y a ces autres personnages, notamment cette femme Marthe que l'on va découvrir. Qui est une femme ambitieuse, une femme qui a bien mené sa barque, une femme puissante dans le milieu de la mode. Donc plusieurs thématiques que vous abordez et dans lesquelles Iris va se faufiler un petit peu pour reprendre l'esprit du titre. Vous aviez envie d'aborder tous ces sujets à travers ce personnage ?

Agnès Martin-Lugand :
C'était vraiment, avec Iris, ce que je voulais aborder c'était la quête de soi, la quête d'identité, c'est à dire qu'elle est à un tournant de sa vie, où elle se prend en mains, où finalement il sera peut être trop tard pour elle. Elle a conscience qu'elle est en train de se perdre et finalement en prenant cette décision de lâcher la banque, de faire cette formation de couture pour enfin assouvir sa passion. Elle va être amenée à rencontrer des personnages différents, des personnes qui vont avoir des influences sur sa vie. Finalement c'est tous les rapports humains qui vont aussi l'aider à se construire et à savoir qui elle est.

Philippe Chauveau :
Détail important, c'est que pour suivre cette formation Iris va devoir quitter la Province, où elle vit avec son époux Pierre, pour « Monter à Paris ». Ca aussi c'est important parce que du coup ça dérègle une vie bien réglée, on rencontre d'autres personnes et ça peut tout faire vaciller.

Agnès Martin-Lugand :
Oui, c'est vraiment prendre le risque de mettre sa vie en l'air, de tout mettre par-terre. On ne sait pas, elle va au devant de l'inconnu. En plus elle n'imagine absolument pas effectivement rencontrer une femme comme Marthe, qui prends très vite de l'influence sur elle, qui lui fait découvrir quelque chose et qui lui permet aussi de voir qui elle pourrait être. Et c'est ce qui est déstabilisant aussi pour son mari parce que au fur et à mesure, il ne reconnaît plus sa femme. Il ne sait plus trop aussi, quoi faire pour elle finalement.

Philippe Chauveau :
Parlons de ce personnage important dans le roman, Marthe, cette femme de pouvoir, cette femme d'influence qui va prendre Iris sous sa coupe, qui va lui faire prendre conscience de ses compétences, des ses qualités, mais qui va être aussi un peu tentaculaire. D'où vient-elle cette femme, Marthe. Vous avez utilisé des gens que vous connaissiez pour vous inspirer d'elle ?

Agnès Martin-Lugand :
Non, non, au tout début quand j'ai commencé à construire le roman, vraiment dans ma tête, Marthe était toujours une femme de pouvoir, influente et qui voulait un petit peu prendre Iris dans sa toile. Et puis au fur et à mesure, je me suis fais embarquée justement par ce côté autoritaire, limite dominatrice avec Iris. Je me suis fait embarquée. Marthe, m'a embarquée aussi, avec son caractère.

Philippe Chauveau :
Est-ce qu'Iris vous ressemble par certains côtés ? Puisque vous aussi, vous étiez psychologue, vous avez changé de vie pour l'écriture. Peut être êtes vous vous aussi venue à Paris pour découvrir un autre univers, est-ce qu'il y a des morceaux de vous dans ce personnage ?

Agnès Martin-Lugand :
Fondamentalement, oui, les raccourcis peuvent être faits, mais je dirais que Iris comme Diane dans mon précédant roman, elles ont quelque chose de moi, on ne peut pas ne pas donner un peu de soit à ses personnages principaux. J'essaye de la nourrir avec des émotions qui me sont propres, après elle a un caractère et une vie qui lui est tout à fait propre, qui n'a rien avec la mienne. Oui j'y ai mis de moi mais je rêverais, tout comme Diane, de les rencontrer toutes les deux.

Philippe Chauveau :
Un mot sur les hommes de ce roman, qui n'ont pas forcément le beau rôle. Alors il y en a forcément qui tirent leur épingle du jeu, je pense à Jacques, je pense à Philippe. Mais si l'on parle de Gabriel, si l'on parle de Pierre, l'époux d'Iris, ils ne sont pas forcément sympathiques.

Agnès Martin-Lugand :
Non, je dirais que Pierre, lui, il est complètement absorbé dans ces traditions familiales, dans ces traditions de bourgeois, il ne voit pas autre chose, il en a pas l'envie, il est heureux tel qu'il est. Après il y a un écart qui se crée avec Iris, parce que elle, elle aspire à autre chose. Le personnage de Gabriel, c'est des rencontres qui l'ont fait devenir ce qu'il est aujourd'hui. Et finalement c'est un personnage beaucoup plus complexe que ce qu'on imagine de prime abord quand on le rencontre au début. Parce qu'il n'en est pas là pour rien.

Philippe Chauveau :
Vous êtes une observatrice attentive de notre société, de la façon dont chacun vie, mène sa propre barque. C'est ce qui vous nourri, pour écrire vos histoires ?

Agnès Martin-Lugand :
Peut-être.

Philippe Chauveau :
C'est très contemporain comme roman.

Agnès Martin-Lugand :
Oui, la thématique que j'aborde, sans que l'histoire soit la même avec la mienne, je me suis aussi posé cette question là et je me rends compte que beaucoup de personnes se la pose, homme comme femme. Je vais pas m'asseoir à une terrasse de café et regarder les gens évoluer, ça je le fais pas. Mais je me pose des questions, j'aime cogiter, j'aime ruminer sur des moments de rupture, des moments de changement dans les vies, c'est ça qui m'intéresse fondamentalement.

Philippe Chauveau :
Un mot sur votre écriture pour Entre mes mains le bonheur se faufile, on a un peu l'impression d'entrer dans un journal intime. C'est un peu comme si Iris nous racontait son histoire. Vous écrivez à la première personne, pourquoi ce choix ?

Agnès Martin-Lugand :
C'est instinctif. C'est instinctif, dès que je commence à écrire, j'écris à la première personne, certainement parce que j'ai besoin de me fondre totalement avec mon personnage principal. C'est à dire que quand je suis en phase d'écriture ou même de construction du scénario, de l'histoire, je vis avec. Elle est tout le temps là. Je suis dans un espèce de collage avec mon personnage principal, j'aime retranscrire ces émotions brutes. Telles qu'elle les pense, telles qu'elle les vit, les réactions de son corps... C'est ça qui me plait en fait.

Philippe Chauveau :
C'est à dire que vous avez du mal à la quitter ?

Agnès Martin-Lugand :
Oui.

Phillipe Chauveau :
Puisqu'elle vit avec vous pendant plusieurs mois ?

Agnès Martin-Lugand :
Oui, c'est toujours très compliqué. Le point final, le moment où le roman est prêt. Enfin là quand il est parti chez l'imprimeur... Voilà, il fallait que je la laisse partir, il fallait que j'apprenne à vivre sans. Alors les lecteurs me le rende derrière, parce que quand je vois qu'elle vit à travers les lecteurs qui me contactent, qui me disent : « On a été avec Iris pendant tant de jours, tant d'heures. On l'a suivie... » Ca me rassure, elle vit encore. Il y a la période de transition, il faut couper le cordon avec et du coup recréer un nouveau cordon avec un nouveau personnage. Il faut savoir se jauger à nouveau.

Philippe Chauveau :
Justement vous avez fait le choix d'une fin ouverte. Est-ce qu'on peut imaginer plus tard retrouver Iris, Gabriel, Pierre, tous ces personnages ?

Agnès Martin-Lugand :
Je ne sais pas. Pour Iris, je ne sais pas. Peut être qu'un jour il y aura de leur nouvelles. C'est pas une certitude, pour le moment je les laisse tranquilles.

Philippe Chauveau :
Agnès Martin-Lugand c'est votre deuxième titre, aux éditions Michel Lafont, votre roman Entre mes mains le bonheur se faufile. Merci beaucoup.

Agnès Martin-Lugand :
Merci à vous.

Entre mes mains, le bonheur se faufile Michel Lafon
  • PRÉSENTATION
  • PORTRAIT
  • LE LIVRE
  • Agnès Martin Lugand a fait grand bruit l'an passé dans le petit monde feutré de l'édition traditionnelle. C'est effectivement sur le Net qu'elle s'est d'abord fait connaitre avant que Michel Lafon ne la repère et publie son livre en version  papier. Au final, « Les gens heureux lisent et boivent du café » aura été l'un succès de l'année 2013 avec plus de 150 000 ouvrages vendus, un roman traduit dans 20 pays et une adaptation prévue pour le cinéma.Pas simple dans ses conditions de concrétiser l'essai. Agnès Martin...J'ai toujours cette musique dans la tête d'Agnès Martin-Lugand - Présentation - Suite
    Philippe Chauveau :Bonjour Agnès Martin-Lugand. Agnès Martin-Lugand :Bonjour. Philippe Chauveau :J'ai plaisir à vous accueillir car vous vivez une belle aventure depuis deux ans maintenant. On se souvient qu'au printemps 2013, aux éditions Michel Lafont, sortait votre premier livre: Les gens heureux lisent et boivent du café. Mais l'aventure avait commencée avant sur internet. On peut revenir un petit peu sur ce passage de votre vie ? Vous vous êtes lancée dans l'écriture et vous avez publié sur internet. Agnès...J'ai toujours cette musique dans la tête d'Agnès Martin-Lugand - Portrait - Suite
    Philippe Chauveau :Dans ce nouveau titre,  Agnès Martin-Lugand, Entre mes mains le bonheur se faufile, nous allons faire connaissance avec une jeune femme, elle s'appelle Iris, ils vivent en province avec son mari Pierre, qui lui, travaille dans un hôpital, est médecin en hôpital. Iris à toujours rêvé de travailler dans le milieu de la mode, et puis elle va découvrir au cours d'une réunion de famille, que ses parents, finalement, se sont opposés à son rêve sans qu'elle le sache. Ce qui va lui ouvrir une nouvelle perspective...J'ai toujours cette musique dans la tête d'Agnès Martin-Lugand - Le livre - Suite