Jean-Claude Lalumière

Jean-Claude Lalumière

Comme un karatéka belge qui fait du cinéma

L'avis du libraire 2'01

Le premier sentiment qu'on a quand on a fini le livre de Jean-Claude Lalumière, c'est quelque chose d'assez nostalgique, sensible. On a un livre au titre assez léger, drôle et on rentre dans cette histoire qui finalement ne l'ai pas du tout
et qui va quand même finir sur une touche assez belle, avec un peu d'espoir aussi. Donc c'est vraiment ce sentiment assez humain. Un sentiment d'humanité qu'on a en ressortant du livre de Jean-Claude Lalumière.
Le style de Jean-Claude Lalumière est lié à quelque chose de sarcastique. C'est un auteur qui maîtrise très bien le cynisme. Ca se retrouve dans son écriture. On a souvent des phrases très percutantes, très courtes et très travaillées. C'est vraiment à ça qu'on le reconnaît.
C'est un livre assez étonnant qui a quelque chose de « balzacien ». On retrouve cette distinction entre Paris et la province qui était très présent dans les romans du 19e siècle.
Finalement, on pourrait se dire que c'est ringard de parler de ça aujourd'hui, mais ça prend tout son sens dans le livre de Jean-Claude Lalumière et c'est un sujet encore d'une grande actualité. Cette histoire d'un homme qui veut conquérir la capitale, c'est loin d'être dépassé.
C'est quelqu'un de très sympathique, de perspicace et drôle. C'est un auteur qu'on suit déjà depuis ses premiers romans. On le soutiendra et on le suivra pour les prochains.

Librairie La Manoeuvre (Paris)
Emilie Pautus

Le premier sentiment qu'on a quand on a fini le livre de Jean-Claude Lalumière, c'est quelque chose d'assez nostalgique, sensible. On a un livre au titre assez léger, drôle et on rentre dans cette histoire qui finalement ne l'ai pas du tout et qui va quand même finir sur une touche assez belle, avec un peu d'espoir aussi. Donc c'est vraiment ce sentiment assez humain. Un sentiment d'humanité qu'on a en ressortant du livre de Jean-Claude Lalumière.
Le style de Jean-Claude Lalumière est lié à quelque chose de sarcastique. C'est un auteur qui maîtrise très bien le cynisme. Ca se retrouve dans son écriture. On a souvent des phrases très percutantes, très courtes et très travaillées. C'est vraiment à ça qu'on le reconnaît.
C'est un livre assez étonnant qui a quelque chose de « balzacien ». On retrouve cette distinction entre Paris et la province qui était très présent dans les romans du 19e siècle. Finalement, on pourrait se dire que c'est ringard de parler de ça aujourd'hui, mais ça prend tout son sens dans le livre de Jean-Claude Lalumière et c'est un sujet encore d'une grande actualité. Cette histoire d'un homme qui veut conquérir la capitale, c'est loin d'être dépassé.
C'est quelqu'un de très sympathique, de perspicace et drôle. C'est un auteur qu'on suit déjà depuis ses premiers romans. On le soutiendra et on le suivra pour les prochains.

Comme un karatéka belge qui fait du cinéma Le Dilettante
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  • Si vous ne le connaissez pas encore, vous avez de la chance, car vous allez avoir le plaisir d'une découverte qui pourrait bien changer votre vie. Trois romans, trois livres pas très épais mais qui vous donnent une pêche d'enfer, trois histoires qui font sourire et donnent l'envie d'être heureux tout simplement. Il s'appelle Jean-Claude Lalumière et il est très discret. Nous l'avons découvert avec « Le front russe », roman digne de Kafka, de Marcel Aymé, mâtiné d'un soupçon d'absurde et de drôlerie, aux répliques...Reprise des acrivés de plein air de Jean-Claude Lalumière - Présentation - Suite
    Philippe Chauveau :Bonjour Jean-Claude Lalumière. « Comme un karatéka belge qui fait du cinéma », c'est votre nouveau titre, votre troisième roman. Vous êtes fidèle aux éditions Le dilettante. Vous avez aussi une autre casquette puisque vous travaillez aussi dans le domaine artistique. L'écriture arrive comment dans votre vie ? Qu'est ce qui vous a donné un jour envie d'écrire ?Jean-Claude Lalumière :Elle vient finalement assez tardivement. J'avais un goût pour la littérature, mais c'est un peu le hasard des rencontres...Reprise des acrivés de plein air de Jean-Claude Lalumière - Portrait - Suite
    Philippe Chauveau :Votre troisième roman Jean-Claude Lalumière avec ce titre pour le moins surprenant « Comme un karatéka belge qui fait du cinéma ». On ne va pas dévoiler tout de suite qui est ce karatéka belge même si certains l'auront deviné. On va faire connaissance avec un personnage, le narrateur, dont on ne connaîtra pas le prénom. Il a une quarantaine d'années, il vit à Paris avec Anne-Sophie, son épouse. Il vit correctement puisque son beau-père lui verse une pension tous les mois ce qui est pratique. Lui-même...Reprise des acrivés de plein air de Jean-Claude Lalumière - Le livre - Suite
    Librairie La Manoeuvre (Paris)Emilie PautusLe premier sentiment qu'on a quand on a fini le livre de Jean-Claude Lalumière, c'est quelque chose d'assez nostalgique, sensible. On a un livre au titre assez léger, drôle et on rentre dans cette histoire qui finalement ne l'ai pas du tout et qui va quand même finir sur une touche assez belle, avec un peu d'espoir aussi. Donc c'est vraiment ce sentiment assez humain. Un sentiment d'humanité qu'on a en ressortant du livre de Jean-Claude Lalumière.Le style de Jean-Claude Lalumière est lié...Reprise des acrivés de plein air de Jean-Claude Lalumière - L'avis du libraire - Suite