Avec « L'homme qui voulait être heureux », publié en 2008, Laurent Gounelle a connu un succès phénoménal. Traduit en 25 langues, son roman est resté en tête des ventes de nombreuses semaines. Succès conforté avec son deuxième titre « Les dieux voyagent toujours incognito ».Passionné par la psychologie, les sciences humaines et la philosophie, Laurent Gounelle cherche depuis toujours, dans son travail, son écriture, sa vie personnelle à apporter des réponses à cette question qui nous touche tous : comment...
Le philosophe qui n'était pas sage de Laurent Gounelle - Présentation - Suite
Philippe Chauveau :Bonjour Laurent Gounelle. Merci d'avoir accepté notre invitation. Vous publiez aux éditions Kero et Plon votre troisième roman « Le philosophe qui n'était pas sage ». L'écriture finalement est arrivée un peu par hasard dans votre parcours professionnel, parce qu'au début ce n'était pas ça du tout votre envie. Vous réalisez un rêve de gamin ?Laurent Gounelle : Pas un rêve de gamin parce que je n'ai pas le souvenir d'avoir projeté écrire des romans quand j'étais gamin. Je ne tenais pas non plus de...
Le philosophe qui n'était pas sage de Laurent Gounelle - Portrait - Suite
Philippe Chauveau :Laurent Gounelle, vous publiez aux éditions Plon et Kero votre troisième roman « Le philosophe qui n'était pas sage ». Ce philosophe, c'est Sandro que l'on va découvrir au fil des pages. Il est bien établi, il vit à Manhattan. Il a connu un drame dans sa vie personnelle et il va s'embarquer dans une drôle d'aventure dans la jungle amazonienne pour aller à la découverte d'une tribu où tout le monde est heureux. Quelle drôle d'histoire. Comment a-t-elle germé dans votre esprit ?Laurent Gounelle :Ah c'est...
Le philosophe qui n'était pas sage de Laurent Gounelle - Le livre - Suite
Librairie Eyrolles61 Boulevard Saint-Germain 75005 Paristél : 01 44 41 11 74www.eyrolles.com
Suzana Guinart
C'est un livre que j'ai trouvé facile à lire. Il s'adresse vraiment à tout le monde. Il n'y a pas de public averti avec des choses du genre très pointu. Les phrases coulent. C'est vraiment quelqu'un qui veut prendre son temps pour expliquer les choses à son lecteur.Pour vraiment apprendre des choses et que ça nous fasse du bien, il faut vraiment lire ce livre. Je trouve que c'est une belle leçon sur le bonheur, la...
Le philosophe qui n'était pas sage de Laurent Gounelle - L'avis du libraire - Suite
Laurent Gounelle
Le philosophe qui n'était pas sage
Présentation 1'16vec « L'homme qui voulait être heureux », publié en 2008, Laurent Gounelle a connu un succès phénoménal. Traduit en 25 langues, son roman est resté en tête des ventes de nombreuses semaines. Succès conforté avec son deuxième titre « Les dieux voyagent toujours incognito ».
Passionné par la psychologie, les sciences humaines et la philosophie, Laurent Gounelle cherche depuis toujours, dans son travail, son écriture, sa vie personnelle à apporter des réponses à cette question qui nous touche tous : comment s'épanouir et donner du sens à sa vie ».
Avec « Le philosophe qui n'était pas sage », il nous propose une nouvelle piste de réflexion. Derrière ce conte moderne qui nous plonge au cœur de la forêt tropicale, ce roman, à la fois captivant, drôle et plein de suspense est une réflexion sur notre société et ses travers.
Entre ce philosophe qui oublie tous ses préceptes et cherche, par vengeance, à détruire une tribu vivant en parfaite harmonie et cette jeune femme luttant pour sauver justement la dite-tribu,
voilà une histoire qui au-delà du plaisir de la lecture nous invite à nous interroger sur notre place et notre rôle dans ce grand Barnum qu'est notre monde.
« Le philosophe qui n'était pas sage », le nouveau roman de Laurent Gounelle aux éditions Plon/Kero. Laurent Gounelle nous donne rendez-vous dans un restaurant parisien qui porte bien son nom « La librairie ».
Avec « L'homme qui voulait être heureux », publié en 2008, Laurent Gounelle a connu un succès phénoménal. Traduit en 25 langues, son roman est resté en tête des ventes de nombreuses semaines. Succès conforté avec son deuxième titre « Les dieux voyagent toujours incognito ».
Passionné par la psychologie, les sciences humaines et la philosophie, Laurent Gounelle cherche depuis toujours, dans son travail, son écriture, sa vie personnelle à apporter des réponses à cette question qui nous touche tous : comment s'épanouir et donner du sens à sa vie ».
Avec « Le philosophe qui n'était pas sage », il nous propose une nouvelle piste de réflexion. Derrière ce conte moderne qui nous plonge au cœur de la forêt tropicale, ce roman, à la fois captivant, drôle et plein de suspense est une réflexion sur notre société et ses travers.
Entre ce philosophe qui oublie tous ses préceptes et cherche, par vengeance, à détruire une tribu vivant en parfaite harmonie et cette jeune femme luttant pour sauver justement la dite-tribu, voilà une histoire qui au-delà du plaisir de la lecture nous invite à nous interroger sur notre place et notre rôle dans ce grand Barnum qu'est notre monde.
« Le philosophe qui n'était pas sage », le nouveau roman de Laurent Gounelle aux éditions Plon/Kero.
Laurent Gounelle nous donne rendez-vous dans un restaurant parisien qui porte bien son nom « La librairie ».
Laurent Gounelle
Le philosophe qui n'était pas sage
Portrait 3'57Bonjour Laurent Gounelle. Merci d'avoir accepté notre invitation. Vous publiez aux éditions Kero et Plon votre troisième roman « Le philosophe qui n'était pas sage ».
L'écriture finalement est arrivée un peu par hasard dans votre parcours professionnel, parce qu'au début ce n'était pas ça du tout votre envie. Vous réalisez un rêve de gamin ?
Pas un rêve de gamin parce que je n'ai pas le souvenir d'avoir projeté écrire des romans quand j'étais gamin. Je ne tenais pas non plus de journal intime comme le font souvent les ados. Ce qui est vrai en revanche c'est que le livre a eu très tôt une place prépondérante dans mon enfance.
Il n'y avait pas beaucoup de télévision à la maison, on la regardait de manière très restreinte et donc pour s'échapper dans la rêverie, pour s'échapper du quotidien, notamment quand ce n'était pas toujours très drôle, j'avais les livres à ma disposition.
Quel sorte d'enfant étiez-vous ?
Très timide. J'étais assez positif, mais dans un environnement qui ne l'était pas forcément et donc besoin de m'évader de cet environnement.
Vous avez ensuite professionnellement évolué dans les sciences humaines et dans la gestion des entreprises, dans les relations humaines au sein des entreprises. Est ce qu'il y a un lien avec l'enfant que vous étiez, l'adolescent peut-être rêveur que vous étiez ?
Oui. Alors le lien n'était pas évident. A savoir que j'étais maladivement timide, j'avais très peu d'amis et en fait quand on est en retrait on observe. Donc je m'intéressais beaucoup aux autres, même si j'avais peur des autres.
Quand on observe, on apprend des choses, Donc ce n'est pas un hasard si une fois adulte, plus tard, pas tout de suite, je me suis tourné vers les sciences humaines, vers la psychologie.
Mais en vous intéressant aux sciences humaines, c'est de vous même dont vous cherchiez la compréhension ?
Oui, sans doute, de manière indirecte. Oui, j'en faisais l'économie au début.
Un premier roman « L'homme qui voulait être heureux » avec un succès phénoménal, que ce soit en édition brochée ou en poche. Pourquoi l'envie d'écrire à ce moment là de votre vie ?
J'avais envie à cette époque là de partager un certain nombre de choses. J'avais moi même de part mon parcours, bénéficiez d'un certain nombre d'enseignements de maîtres, de sages, de scientifiques aussi et à un moment donné, j'avais le sentiment que tout ce que j'avais reçu,
tout ce que j'avais bénéficiez était utile pour tout le monde. Ce sont des choses sur comment mieux se connaître, mieux se comprendre, comment vivre sa vie. Ce sont des choses qui ne s'apprennent pas sur les bancs de l'école et qui pourtant sont essentielles.
A l'école, on apprend les maths, la physique, les sciences naturelles, la géographie. Autant de choses passionnantes certes, mais en même temps, c'est au moins aussi important d'apprendre à se connaître et à diriger sa vie. Et donc j'avais envie de partager.
Et donc l'idée à germé dans mon esprit progressivement et en 2006 je me suis mis à écrire « L'homme qui voulait être heureux ». Pourquoi 2006 ? Je ne pourrais pas vous dire. Ce qui est certain, c'est que c'est une année qui n'a pas été anodine pour moi.
C'est une année forte sur le plan émotionnel. J'ai perdu mon père, mon meilleur ami, mon premier enfant est venu au monde. Il s'est passé beaucoup de choses cette année là et il se trouve que je me suis mis à écrire à ce moment là.
C'est un rendez-vous d'amitié que vous offrez à vos lecteurs avec ce troisième roman ?
Oui, en quelque sorte. Je sais qu'ils ont apprécié mes premiers romans et donc je souhaite leur offrir un troisième roman à la hauteur de leurs espérances.
C'est votre actualité Laurent Gounelle « Le philosophe qui n'était pas sage » publié aux éditions Kero et Plon.
Philippe Chauveau :
Bonjour Laurent Gounelle. Merci d'avoir accepté notre invitation. Vous publiez aux éditions Kero et Plon votre troisième roman « Le philosophe qui n'était pas sage ». L'écriture finalement est arrivée un peu par hasard dans votre parcours professionnel, parce qu'au début ce n'était pas ça du tout votre envie. Vous réalisez un rêve de gamin ?
Laurent Gounelle :
Pas un rêve de gamin parce que je n'ai pas le souvenir d'avoir projeté écrire des romans quand j'étais gamin. Je ne tenais pas non plus de journal intime comme le font souvent les ados. Ce qui est vrai en revanche c'est que le livre a eu très tôt une place prépondérante dans mon enfance. IL n'y avait pas beaucoup de télévision à la maison, on la regardait de manière très restreinte et donc pour s'échapper dans la rêverie, pour s'échapper du quotidien, notamment quand ce n'était pas toujours très drôle, j'avais les livres à ma disposition.
Philippe Chauveau :
Quel sorte d'enfant étiez-vous ?
Laurent Gounelle :
Très timide. J'étais assez positif, mais dans un environnement qui ne l'était pas forcément et donc besoin de m'évader de cet environnement.
Philippe Chauveau :
Vous avez ensuite professionnellement évolué dans les sciences humaines et dans la gestion des entreprises, dans les relations humaines au sein des entreprises. Est ce qu'il y a un lien avec l'enfant que vous étiez, l'adolescent peut-être rêveur que vous étiez ?
Laurent Gounelle :
Oui. Alors le lien n'était pas évident. A savoir que j'étais maladivement timide, j'avais très peu d'amis et en fait quand on est en retrait on observe. Donc je m'intéressais beaucoup aux autres, même si j'avais peur des autres. Quand on observe, on apprend des choses, Donc ce n'est pas un hasard si une fois adulte, plus tard, pas tout de suite, je me suis tourné vers les sciences humaines, vers la psychologie.
Philippe Chauveau :
Mais en vous intéressant aux sciences humaines, c'est de vous même dont vous cherchiez la compréhension ?
Laurent Gounelle :
Oui, sans doute, de manière indirecte. Oui, j'en faisais l'économie au début.
Philippe Chauveau :
Un premier roman « L'homme qui voulait être heureux » avec un succès phénoménal, que ce soit en édition broché ou en poche. Pourquoi l'envie d'écrire à ce moment là de votre vie ?
Laurent Gounelle :
J'avais envie à cette époque là de partager un certain nombre de choses. J'avais moi même de part mon parcours, bénéficiez d'un certain nombre d'enseignements de maîtres, de sages, de scientifiques aussi et à un moment donné, j'avais le sentiment que tout ce que j'avais reçu, tout ce que j'avais bénéficiez était utile pour tout le monde. Ce sont des choses sur comment mieux se connaître, mieux se comprendre, comment vivre sa vie. Ce sont des choses qui ne s'apprennent pas sur les bancs de l'école et qui pourtant sont essentielles. A l'école, on apprend les maths, la physique, les sciences naturelles, la géographie. Autant de choses passionnantes certes, mais en même temps, c'est au moins aussi important d'apprendre à se connaître et à diriger sa vie. Et donc j'avais envie de partager. Et donc l'idée à germé dans mon esprit progressivement et en 2006 je me suis mis à écrire « L'homme qui voulait être heureux ». Pourquoi 2006 ? Je ne pourrais pas vous dire. Ce qui est certain, c'est que c'est une année qui n'a pas été anodine pour moi. C'est une année forte sur le plan émotionnel. J'ai perdu mon père, mon meilleur ami, mon premier enfant est venu au monde. Il s'est passé beaucoup de choses cette année là et il se trouve que je me suis mis à écrire à ce moment là.
Philippe Chauveau :
C'est un rendez-vous d'amitié que vous offrez à vos lecteurs avec ce troisième roman ?
Laurent Gounelle :
Oui, en quelque sorte. Je sais qu'ils ont apprécié mes premiers romans et donc je souhaite leur offrir un troisième roman à la hauteur de leurs espérances.
Philippe Chauveau :
C'est votre actualité Laurent Gounelle « Le philosophe qui n'était pas sage » publié aux éditions Kero et Plon.
Laurent Gounelle
Le philosophe qui n'était pas sage
Le livre 3'45Laurent Gounelle, vous publiez aux éditions Plon et Kero votre troisième roman « Le philosophe qui n'était pas sage ». Ce philosophe, c'est Sandro que l'on va découvrir au fil des pages. Il est bien établi, il vit à Manhattan. Il a connu un drame dans sa vie personnelle
et il va s'embarquer dans une drôle d'aventure dans la jungle amazonienne pour aller à la découverte d'une tribu où tout le monde est heureux. Quelle drôle d'histoire. Comment a-t-elle germé dans votre esprit ?
Ah c'est une bonne question. En fait, je souhaitais écrire un roman, une histoire, dont le thème serait Nous, dans le sens, notre société, notre modèle actuel de civilisation. Et la meilleure façon pour prendre conscience de notre modèle de société est de le confronter
à un modèle radicalement différent, donc le modèle d'une société primitive en l'occurrence. C'est pour ça que j'ai positionné l'essentiel de l'histoire au fin fond de la jungle amazonienne
où se trouve encore l'une des dernières tribus de personnes qui n'ont aucun contact avec la civilisation occidentale.
En extrapolant, on peut dire que vos deux précédents titres, « L'homme qui voulait être heureux » et « Les dieux voyagent toujours incognito », nous parlait de personnages avec leurs difficultés personnelles
alors que là, avec « Le philosophe qui n'était pas sage » c'est une critique de notre société que vous voulez faire.
C'est une sorte de parodie. J'ai voulu que ça soit assez drôle. Je pensais que c'était en riant de nous-mêmes que l'on prenait le plus conscience de notre façon de penser, de vivre.
Pourquoi avoir fait de Sandro un philosophe ?
C'est un philosophe qui est censé incarner une certaine sagesse et en fait, ce n'est pas le cas. Il est un peu à l'image de nous autres occidentaux et même quand on se dit philosophe, on n'est pas du tout dans une démarche de sagesse.
Ce philosophe a quand même connu un drame personnel dans sa vie. C'est ce qui explique qu'il parte pour cette mission avec cette envie d'anéantir cette tribu heureuse. Et puis il y a un personnage féminin, un personnage central Elianta.
C'était important pour vous qu'il y ait aussi le rôle d'une femme qui soit le personnage le plus doux, comparé à l'homme qui a le mauvais rôle?
Oui, et je pense que les femmes portent en elles de manière intuitive une forme de sagesse qu'on moins souvent les hommes.
Ca veut dire que là, c'est l'homme qui amène le mal et pas la femme. C'est ce qui nous différencie de la Genèse peut-être ?
Oui, tout à fait. Finalement ce philosophe qui est censé être sur un travail de recherche de la vérité et donc du bien et bien il a ce projet qui est d'inculquer le mal à cette peuplade qui vit dans le bonheur et dans l'équilibre.
Donc, ce faisant, il va leur inculquer un modèle, une pense de vie qui ressemble étrangement aux nôtres.
Tous les défauts de nos sociétés contemporaines sont ici abordés. Que ce soit la vanité, l'envie, la jalousie, aussi tout ce qui concerne la communication avec les réseaux sociaux qui sont éreintés. Vous vous êtes fait plaisir à pointer du doigt tout nos défauts...
Oui, je me suis amusé.
Merci beaucoup Laurent Gounelle et merci pour ce nouveau roman, le troisième dans votre parcours d'auteur. « le philosophe qui n'était pas sage », c'est aux éditions Plon / Kero.
Philippe Chauveau :
Laurent Gounelle, vous publiez aux éditions Plon et Kero votre troisième roman « Le philosophe qui n'était pas sage ». Ce philosophe, c'est Sandro que l'on va découvrir au fil des pages. Il est bien établi, il vit à Manhattan. Il a connu un drame dans sa vie personnelle et il va s'embarquer dans une drôle d'aventure dans la jungle amazonienne pour aller à la découverte d'une tribu où tout le monde est heureux. Quelle drôle d'histoire. Comment a-t-elle germé dans votre esprit ?
Laurent Gounelle :
Ah c'est une bonne question. En fait, je souhaitais écrire un roman, une histoire, dont le thème serait Nous, dans le sens, notre société, notre modèle actuel de civilisation. Et la meilleure façon pour prendre conscience de notre modèle de société est de le confronter à un modèle radicalement différent, donc le modèle d'une société primitive en l'occurrence. C'est pour ça que j'ai positionné l'essentiel de l'histoire au fin fond de la jungle amazonienne où se trouve encore l'une des dernières tribus de personnes qui n'ont aucun contact avec la civilisation occidentale.
Philippe Chauveau :
En extrapolant, on peut dire que vos deux précédents titres, « L'homme qui voulait être heureux » et « Les dieux voyagent toujours incognito », nous parlait de personnages avec leurs difficultés personnelles alors que là, avec « Le philosophe qui n'était pas sage » c'est une critique de notre société que vous voulez faire.
Laurent Gounelle :
C'est une sorte de parodie. J'ai voulu que ça soit assez drôle. Je pensais que c'était en riant de nous-mêmes que l'on prenait le plus conscience de notre façon de penser, de vivre.
Philippe Chauveau :
Pourquoi avoir fait de Sandro un philosophe ?
Laurent Gounelle :
C'est un philosophe qui est censé incarner une certaine sagesse et en fait, ce n'est pas le cas. Il est un peu à l'image de nous autres occidentaux et même quand on se dit philosophe, on n'est pas du tout dans une démarche de sagesse.
Philippe Chauveau :
Ce philosophe a quand même connu un drame personnel dans sa vie. C'est ce qui explique qu'il parte pour cette mission avec cette envie d'anéantir cette tribu heureuse. Et puis il y a un personnage féminin, un personnage central Elianta. C'était important pour vous qu'il y ait aussi le rôle d'une femme qui soit le personnage le plus doux, comparé à l'homme qui a le mauvais rôle?
Laurent Gounelle :
Oui, et je pesne que les femmes portent en elles de manière intuitive une forme de sagesse qu'on moins souvent les hommes.
Philippe Chauveau :
Ca veut dire que là, c'est l'homme qui amène le mal et pas la femme. C'est ce qui nous différencie de la Genèse peut-être ?
Laurent Gounelle :
Oui, tout à fait. Finalement ce philosophe qui est censé être sur un travail de recherche de la vérité et donc du bien et bine il a ce projet qui est d'inculquer le mal à cette peuplade qui vit dans le bonheur et dans l'équilibre. Donc, ce faisant, il va leur inculquer un modèle, une pense de vie qui ressemble étrangement aux notres.
Philippe Chauveau :
Tous les défauts de nos sociétés contemporaines sont ici abordés. Que ce soit la vanité, l'envie, la jalousie, aussi tout ce qui concerne la communication avec les réseaux sociaux qui sont éreintés. Vous vous êtes fait plaisir à pointer du doigt tout nos défauts...
Laurent Gounelle :
Oui, je me suis amusé.
Philippe Chauveau :
Merci beaucoup Laurent Gounelle et merci pour ce nouveau roman, le troisième dans votre parcours d'auteur. « le philosophe qui n'était pas sage », c'est aux éditions Plon / Kero.
Laurent Gounelle
Le philosophe qui n'était pas sage
L'avis du libraire 1'03C'est un livre que j'ai trouvé facile à lire. Il s'adresse vraiment à tout le monde. Il n'y a pas de public averti avec des choses du genre très pointu. Les phrases coulent. C'est vraiment quelqu'un qui veut prendre son temps pour expliquer les choses à son lecteur.
Pour vraiment apprendre des choses et que ça nous fasse du bien, il faut vraiment lire ce livre. Je trouve que c'est une belle leçon sur le bonheur, la simplicité, mais aussi une très belle leçon sur le pardon.
Ca parle beaucoup de pardon. On ne le voit pas, mais on le sent. C'est une question d'épanouissement personnel. Il a découvert quelque chose sur lui et il veut le faire partager à ses lecteurs, mais je trouve qu'il veut rendre heureux ses lecteurs.
Librairie Eyrolles
61 Boulevard Saint-Germain
75005 Paris
tél : 01 44 41 11 74
www.eyrolles.com
Suzana Guinart
C'est un livre que j'ai trouvé facile à lire. Il s'adresse vraiment à tout le monde. Il n'y a pas de public averti avec des choses du genre très pointu. Les phrases coulent. C'est vraiment quelqu'un qui veut prendre son temps pour expliquer les choses à son lecteur.
Pour vraiment apprendre des choses et que ça nous fasse du bien, il faut vraiment lire ce livre. Je trouve que c'est une belle leçon sur le bonheur, la simplicité, mais aussi une très belle leçon sur le pardon.
Ca parle beaucoup de pardon. On ne le voit pas, mais on le sent. C'est une question d'épanouissement personnel. Il a découvert quelque chose sur lui et il veut le faire partager à ses lecteurs, mais je trouve qu'il veut rendre heureux ses lecteurs.