Une mère danseuse classique aux ballets de Monte Carlo, un père vedette de cinéma, le grand Eddie Constantine, voilà un univers familial riche de surprises.Barbara Constantine vivra d'ailleurs de belles aventures avec le 7ème art en était elle-même script pour de grands réalisateurs, tels Robert Altman, Cédric Klapisch ou Andrej Zulawski.C'est pourtant avec la littérature que Barbara Constantine se fera connaître du grand public avec un 1er roman en 2007 « Allumer le chat » suivi notamment de « A Mélie, sans mélo »ou...
Et puis Paulette... de Barbara Constantine - Présentation - Suite
Bonjour Barbara ConstantineBonjourMerci de nous accorder un moment pour parler de votre actualité « Et puis, Paulette… » chez Calmann-Lévy. Avant de parler de ce titre, nous allons parler de vos autres ouvrages, mais vous avez plusieurs cordes à votre arcpuisque vous êtes romancière, vous travaillez ou vous avez travaillé aussi pour le cinéma, vous avez également des dons en tant que potière, mais ça, c'est peut-être plus pour le plaisir ?Oui, c'est pour le plaisir.Le cinéma, dans votre vie, a fait son apparition comment,...
Et puis Paulette... de Barbara Constantine - Portrait - Suite
Vous venez, de publier, Barbara Constantine chez Calmann-Lévy, votre nouveau titre, c'est votre cinquième roman déjà, « Et puis, Paulette... » avec cette jolie couverture.C'est l'histoire de Ferdinand. Ferdinand est un sénior, on va l'appeler comme ça, il vit à la campagne. Qui est-il cet homme ?C'est un agriculteur qui vécut dans sa grande ferme avec sa famille. Sa femme est morte quelques années avant. Il a vécu avec son fils, sa belle-fille et ses deux petits enfants jusque là.Au moment où le roman commence, ils ont...
Et puis Paulette... de Barbara Constantine - Le livre - Suite
« Dialogues »
Marie Cornec
Square Monseigneur Roull
29200 Brest Tél : 02 98 44 88 68
www.librairiedialogue.fr
Avec ce roman, on va découvrir un voisinage un peu atypique.À la suite d'un dégât des eaux, une vieille dame, un peu esseulée, va se retrouver complètement perdue et Ferdinand, le personnage principal, va lui proposer par le biais de ses petits lulus, ses deux petits fils, de l'héberger, au départ pour un temps et plus ou pas.Ensuite on va découvrir une colocation étonnante et détonante parce que va...
Et puis Paulette... de Barbara Constantine - L'avis du libraire - Suite
Barbara Constantine
Et puis Paulette...
Présentation 1'31'Une mère danseuse classique aux ballets de Monte Carlo, un père vedette de cinéma, le grand Eddie Constantine, voilà un univers familial riche de surprises.
Barbara Constantine vivra d'ailleurs de belles aventures avec le 7ème art en était elle-même script pour de grands réalisateurs, tels Robert Altman, Cédric Klapisch ou Andrej Zulawski.
C'est pourtant avec la littérature que Barbara Constantine se fera connaître du grand public avec un 1er roman en 2007 « Allumer le chat » suivi notamment de « A Mélie, sans mélo »
ou encore « Tom, petit homme, tout petit homme » qui à chaque fois ont séduit lecteurs et libraires.
L'actualité de Barbara Constantine, c'est ce livre « Et puis Paulette » publié chez Calmann Lévy et qui est en passe de devenir un véritable phénomène. Ferdinand est un sénior, comme on dit aujourd'hui.
Ancien agriculteur, il vit seul dans sa grande maison depuis la mort de sa femme. Seule l'affection de ses petits-enfants la raccroche à la vie. Pourtant, au fil des saisons, il va ouvrir son cœur et sa porte à d'autres personnages, cabossées comme lui par la vie.
Esprits chagrins et cyniques, passez votre chemin, ce livre n'est pas pour vous. « Et puis Paulette » est un livre bourré d'humour et d'amour, de sentiments, de tendresse, de douleur aussi parfois,
bref un livre plein de vie qui donne la pêche et qui invite aussi à la réflexion sur la vieillesse et les rapports humains.
Bref, voilà un livre coup de cœur ! Barbara Constantine, « Et puis Paulette… » chez Calmann Lévy. Barbara Constantine est sur WTC.
Une mère danseuse classique aux ballets de Monte Carlo, un père vedette de cinéma, le grand Eddie Constantine, voilà un univers familial riche de surprises.
Barbara Constantine vivra d'ailleurs de belles aventures avec le 7ème art en était elle-même script pour de grands réalisateurs, tels Robert Altman, Cédric Klapisch ou Andrej Zulawski.
C'est pourtant avec la littérature que Barbara Constantine se fera connaître du grand public avec un 1er roman en 2007 « Allumer le chat » suivi notamment de « A Mélie, sans mélo »
ou encore « Tom, petit homme, tout petit homme » qui à chaque fois ont séduit lecteurs et libraires.
L'actualité de Barbara Constantine, c'est ce livre « Et puis Paulette » publié chez Calmann Lévy et qui est en passe de devenir un véritable phénomène. Ferdinand est un sénior, comme on dit aujourd'hui.
Ancien agriculteur, il vit seul dans sa grande maison depuis la mort de sa femme. Seule l'affection de ses petits-enfants la raccroche à la vie. Pourtant, au fil des saisons, il va ouvrir son cœur et sa porte à d'autres personnages, cabossées comme lui par la vie.
Esprits chagrins et cyniques, passez votre chemin, ce livre n'est pas pour vous. « Et puis Paulette » est un livre bourré d'humour et d'amour, de sentiments, de tendresse, de douleur aussi parfois,
bref un livre plein de vie qui donne la pêche et qui invite aussi à la réflexion sur la vieillesse et les rapports humains.
Bref, voilà un livre coup de cœur ! Barbara Constantine, « Et puis Paulette… » chez Calmann Lévy. Barbara Constantine est sur WTC.
Barbara Constantine
Et puis Paulette...
Portrait 3'34Bonjour Barbara Constantine
Bonjour
Merci de nous accorder un moment pour parler de votre actualité « Et puis, Paulette… » chez Calmann-Lévy. Avant de parler de ce titre, nous allons parler de vos autres ouvrages, mais vous avez plusieurs cordes à votre arc
puisque vous êtes romancière, vous travaillez ou vous avez travaillé aussi pour le cinéma, vous avez également des dons en tant que potière, mais ça, c'est peut-être plus pour le plaisir ?
Oui, c'est pour le plaisir.
Le cinéma, dans votre vie, a fait son apparition comment, qu'est-ce qui vous a donné envie de travailler dans le cinéma en tant que scripte ?
Je suis tombée dedans par accident en fait, puisque mon père travaillait dans le cinéma, donc c'est vrais que c'était assez simple.
Je suis arrivée un jour pour faire un stage sur un tournage, la scripte n'est pas venue, peut-être était-elle malade, je n'ai pas vraiment bien compris. Et on m'a dit, « il va falloir que tu le fasse ».
Et donc voilà, j'ai commencé comme scripte mais je n'y connaissait rien du tout, j'était juste venue pour apprendre et voir si ça m'intéresserait…
Et ça vous à plus !
Bien sûr ! C'est assez violent, ça fait peur, mais cette adrénaline elle est addictive.
Vous avez un souvenir particulier d'un tournage, d'un moment qui revient souvent en mémoire. ?
J'ai un souvenir formidable avec Marcello Mastroianni, c'était impressionnant de rencontrer quelqu'un comme ça.
Comment créé-t-on une passerelle entre le cinéma et la littérature ?
Elle existe déjà, il y a beaucoup d'adaptations qui sont faites pour le cinéma. Et puis, j'ai toujours lu. L'écriture, ça c'est encore autre chose mais là, je peux vraiment parler d'accident.
J'avais plutôt envie de faire autre chose et vraiment m'éloigner du cinéma justement. Et donc l'écriture, c'est de se dire un jour « J'ai du temps, pourquoi pas écrire quelque chose pour moi ? », et ça a commencé comme ça.
Mais je ne savais pas que j'avais la possibilité d'écrire un livre.
2007, c'est votre premier livre « Allo le chat », un livre qui a marqué car c'était un vent de fraîcheur qui arrivait dans le milieu de la littérature, en tout cas c'est comme ça que ça a été perçu. Vous aviez envie de marquer votre marque comme ça, dès le premier titre ?
Mais moi, je ne savais pas que j'écrivais un livre, vraiment, c'est sérieux.
C'est une fois que je l'ai écrit, que je l'ai fais lire aux gens autour de moi, qu'on m'a dit « Mais c'est un livre ! ». C'était pas comme une nécessité de le faire publier. C'est arrivé comme ça parce qu'on me l'a suggéré, enfin voilà.
Vous avez l'impression du coup, d'avoir découvert une facette de votre personnalité comme vous ne le soupçonniez pas ?
On peu dire ça. C'est presque ça, oui !
« Et puis, Paulette… », c'est votre cinquième titre, lorsque vous écrivez quel est votre sensation, qu'avez vous envie de transmettre ?
J'ai envie de trouver les mots justes pour transmettre des émotions. J'ai l'impression de devoir moi-même être émue pour transmettre l'émotion.
Quelques fois c'est faux, on peut être ému par quelque chose et un lecteur peut ne pas l'être. Voilà, ça commence comme ça.
Quel est le plus beau compliment qu'un lecteur ou une lectrice ait pu vous faire à ce jour ?
Récemment j'ai reçu un mail d'une dame âgée qui m'a dit que ça lui avait donné de l'espoir et j'ai senti que c'était sincère.
Merci beaucoup Barbara Constantine, votre actualité « Et puis Paulette… », c'est chez Calmann-Lévy.
Bonjour Barbara Constantine
Bonjour
Merci de nous accorder un moment pour parler de votre actualité « Et puis, Paulette… » chez Calmann-Lévy. Avant de parler de ce titre, nous allons parler de vos autres ouvrages, mais vous avez plusieurs cordes à votre arc
puisque vous êtes romancière, vous travaillez ou vous avez travaillé aussi pour le cinéma, vous avez également des dons en tant que potière, mais ça, c'est peut-être plus pour le plaisir ?
Oui, c'est pour le plaisir.
Le cinéma, dans votre vie, a fait son apparition comment, qu'est-ce qui vous a donné envie de travailler dans le cinéma en tant que scripte ?
Je suis tombée dedans par accident en fait, puisque mon père travaillait dans le cinéma, donc c'est vrais que c'était assez simple.
Je suis arrivée un jour pour faire un stage sur un tournage, la scripte n'est pas venue, peut-être était-elle malade, je n'ai pas vraiment bien compris. Et on m'a dit, « il va falloir que tu le fasse ».
Et donc voilà, j'ai commencé comme scripte mais je n'y connaissait rien du tout, j'était juste venue pour apprendre et voir si ça m'intéresserait…
Et ça vous à plus !
Bien sûr ! C'est assez violent, ça fait peur, mais cette adrénaline elle est addictive.
Vous avez un souvenir particulier d'un tournage, d'un moment qui revient souvent en mémoire. ?
J'ai un souvenir formidable avec Marcello Mastroianni, c'était impressionnant de rencontrer quelqu'un comme ça.
Comment créé-t-on une passerelle entre le cinéma et la littérature ?
Elle existe déjà, il y a beaucoup d'adaptations qui sont faites pour le cinéma. Et puis, j'ai toujours lu. L'écriture, ça c'est encore autre chose mais là, je peux vraiment parler d'accident.
J'avais plutôt envie de faire autre chose et vraiment m'éloigner du cinéma justement. Et donc l'écriture, c'est de se dire un jour « J'ai du temps, pourquoi pas écrire quelque chose pour moi ? », et ça a commencé comme ça.
Mais je ne savais pas que j'avais la possibilité d'écrire un livre.
2007, c'est votre premier livre « Allo le chat », un livre qui a marqué car c'était un vent de fraîcheur qui arrivait dans le milieu de la littérature, en tout cas c'est comme ça que ça a été perçu. Vous aviez envie de marquer votre marque comme ça, dès le premier titre ?
Mais moi, je ne savais pas que j'écrivais un livre, vraiment, c'est sérieux.
C'est une fois que je l'ai écrit, que je l'ai fais lire aux gens autour de moi, qu'on m'a dit « Mais c'est un livre ! ». C'était pas comme une nécessité de le faire publier. C'est arrivé comme ça parce qu'on me l'a suggéré, enfin voilà.
Vous avez l'impression du coup, d'avoir découvert une facette de votre personnalité comme vous ne le soupçonniez pas ?
On peu dire ça. C'est presque ça, oui !
« Et puis, Paulette… », c'est votre cinquième titre, lorsque vous écrivez quel est votre sensation, qu'avez vous envie de transmettre ?
J'ai envie de trouver les mots justes pour transmettre des émotions. J'ai l'impression de devoir moi-même être émue pour transmettre l'émotion.
Quelques fois c'est faux, on peut être ému par quelque chose et un lecteur peut ne pas l'être. Voilà, ça commence comme ça.
Quel est le plus beau compliment qu'un lecteur ou une lectrice ait pu vous faire à ce jour ?
Récemment j'ai reçu un mail d'une dame âgée qui m'a dit que ça lui avait donné de l'espoir et j'ai senti que c'était sincère.
Merci beaucoup Barbara Constantine, votre actualité « Et puis Paulette… », c'est chez Calmann-Lévy.
Barbara Constantine
Et puis Paulette...
Le livre 3'13Vous venez, de publier, Barbara Constantine chez Calmann-Lévy, votre nouveau titre, c'est votre cinquième roman déjà, « Et puis, Paulette... » avec cette jolie couverture.
C'est l'histoire de Ferdinand. Ferdinand est un sénior, on va l'appeler comme ça, il vit à la campagne. Qui est-il cet homme ?
C'est un agriculteur qui vécut dans sa grande ferme avec sa famille. Sa femme est morte quelques années avant. Il a vécu avec son fils, sa belle-fille et ses deux petits enfants jusque là.
Au moment où le roman commence, ils ont déménagé quelques mois auparavant et il est tout seul. Et il commence à ne pas très bien le vivre.
Vous faites le choix de ne pas trop dépeindre la campagne où se situe l'action, de ne pas donner trop de détails sur les personnages, c'est pour que chaque lecteur puisse s'approprier l'histoire ?
Oui, oui absolument. C'est vraiment un travail que je fais au moment de l'écriture, d'essayer de gommer le plus possible tout ce qui pourrait typer l'endroit ou les personnages pour laisser la place au lecteur.
Finalement Ferdinand qui est un peu bourru, va se découvrir un cœur d'or qu'il ne soupçonnait peut-être pas ?
Oui, oui, comme chez tout le monde. C'est à dire que sous des airs bourrus, en grattant un peu, on peut découvrir des gens au grand cœur.
Mais finalement sa maison, qui était une grande maison vide à la campagne, va se remplir petit à petit de personnes toutes plus ou moins cabossées par la vie, toutes vont trouver un ami avec Ferdinand.
Oui, enfin tout ça c'est assez accidentel, ça ne veut pas dire qu'il ouvre sa porte comme ça du premier coup. Il a cette voisine dont il ne s'est jamais occupé de savoir qui elle était, comment elle vivait etc, qui vit vraiment à côté de chez lui.
Et c'est avec ses petits enfants qu'il va découvrir que le toit de sa maison s'effondre mais ça ne lui vient pas à l'esprit de l'inviter chez lui à ce moment là, ce sont les petits enfants qui vont suggérer cette possibilité et il va réfléchir et il va le faire.
A partir de là, ça va ouvrir des portes.
Et là toutes les générations se retrouvent, on parle des petits-enfants, il y a ces jeunes filles étudiantes qui ont aussi besoin d'un toit et toutes ces générations vont réussir à trouver des points communs.
En tout cas, des choses qui vont les relier.
Avez-vous l'impression qu'il est plus facile d'être solidaire à la campagne en province, plutôt qu'en métropole ?
Oui, oui clairement, enfin ça me paraît évident. On est devenu tellement habitué de voir de la misère dans les rues, enfin habitué, c'est horrible déjà même de dire ce mot là.
On voit des gens allongés dans la rue, on est capable de passer sans s'arrêter, ça n'arriverait pas à la campagne en fait. Enfin en tout cas pas encore.
C'est une vision assez noire de notre société que vous essayez d'embellir.
Oui mais c'est noir. C'est vraiment noir. Il y a moyen de faire changer les choses, je pense.
Après c'est juste un roman donc on fait ce qu'on veut mais quelque fois des choses dramatiques, si on les regarde par l'autre bout de la lorgnette, on peut les appréhender d'une autre façon.
Merci Barbara Constantine, merci pour ce très joli roman plein de lumières et pleins de vies. « Et puis, Paulette... » c'est chez Calmann-Lévy.
Vous venez, de publier, Barbara Constantine chez Calmann-Lévy, votre nouveau titre, c'est votre cinquième roman déjà, « Et puis, Paulette... » avec cette jolie couverture.
C'est l'histoire de Ferdinand. Ferdinand est un sénior, on va l'appeler comme ça, il vit à la campagne. Qui est-il cet homme ?
C'est un agriculteur qui vécut dans sa grande ferme avec sa famille. Sa femme est morte quelques années avant. Il a vécu avec son fils, sa belle-fille et ses deux petits enfants jusque là.
Au moment où le roman commence, ils ont déménagé quelques mois auparavant et il est tout seul. Et il commence à ne pas très bien le vivre.
Vous faites le choix de ne pas trop dépeindre la campagne où se situe l'action, de ne pas donner trop de détails sur les personnages, c'est pour que chaque lecteur puisse s'approprier l'histoire ?
Oui, oui absolument. C'est vraiment un travail que je fais au moment de l'écriture, d'essayer de gommer le plus possible tout ce qui pourrait typer l'endroit ou les personnages pour laisser la place au lecteur.
Finalement Ferdinand qui est un peu bourru, va se découvrir un cœur d'or qu'il ne soupçonnait peut-être pas ?
Oui, oui, comme chez tout le monde. C'est à dire que sous des airs bourrus, en grattant un peu, on peut découvrir des gens au grand cœur.
Mais finalement sa maison, qui était une grande maison vide à la campagne, va se remplir petit à petit de personnes toutes plus ou moins cabossées par la vie, toutes vont trouver un ami avec Ferdinand.
Oui, enfin tout ça c'est assez accidentel, ça ne veut pas dire qu'il ouvre sa porte comme ça du premier coup. Il a cette voisine dont il ne s'est jamais occupé de savoir qui elle était, comment elle vivait etc, qui vit vraiment à côté de chez lui.
Et c'est avec ses petits enfants qu'il va découvrir que le toit de sa maison s'effondre mais ça ne lui vient pas à l'esprit de l'inviter chez lui à ce moment là, ce sont les petits enfants qui vont suggérer cette possibilité et il va réfléchir et il va le faire.
A partir de là, ça va ouvrir des portes.
Et là toutes les générations se retrouvent, on parle des petits-enfants, il y a ces jeunes filles étudiantes qui ont aussi besoin d'un toit et toutes ces générations vont réussir à trouver des points communs.
En tout cas, des choses qui vont les relier.
Avez-vous l'impression qu'il est plus facile d'être solidaire à la campagne en province, plutôt qu'en métropole ?
Oui, oui clairement, enfin ça me paraît évident. On est devenu tellement habitué de voir de la misère dans les rues, enfin habitué, c'est horrible déjà même de dire ce mot là.
On voit des gens allongés dans la rue, on est capable de passer sans s'arrêter, ça n'arriverait pas à la campagne en fait. Enfin en tout cas pas encore.
C'est une vision assez noire de notre société que vous essayez d'embellir.
Oui mais c'est noir. C'est vraiment noir. Il y a moyen de faire changer les choses, je pense.
Après c'est juste un roman donc on fait ce qu'on veut mais quelque fois des choses dramatiques, si on les regarde par l'autre bout de la lorgnette, on peut les appréhender d'une autre façon.
Merci Barbara Constantine, merci pour ce très joli roman plein de lumières et pleins de vies. « Et puis, Paulette... » c'est chez Calmann-Lévy.
Barbara Constantine
Et puis Paulette...
L'avis du libraire 1'30« Dialogues »
Marie Cornec
Square Monseigneur Roull
29200 Brest
Tél : 02 98 44 88 68
www.librairiedialogue.fr
Avec ce roman, on va découvrir un voisinage un peu atypique.
À la suite d'un dégât des eaux, une vieille dame, un peu esseulée, va se retrouver complètement perdue et Ferdinand, le personnage principal, va lui proposer par le biais de ses petits lulus, ses deux petits fils, de l'héberger, au départ pour un temps et plus ou pas.
Ensuite on va découvrir une colocation étonnante et détonante parce que va s'ensuivre l'arrivée d'un ami de Ferdinand qui est veuf, ensuite deux étudiants un peu paumés.
Il y a deux personnages, deux sœurs qui sont un petit peu folles, mais de gentilles folles, de douces folles en fait. On est dans l'idée de la solidarité, de l'entraide.
C'est une écriture qui va dans l'essentiel, assez épurée, mais c'est une écriture qui est facile à lire, dans le bon sens du terme. C'est un bon roman à emporter dans ses valises pour les vacances.
On n'a pas envie de le lâcher parce qu'on est dans cette ferme avec les personnages. Voilà, c'est un roman qui se lit vite, si on aime et qu'on n'a pas envie de lâcher.
« Dialogues »
Marie Cornec
Square Monseigneur Roull
29200 Brest
Tél : 02 98 44 88 68
www.librairiedialogue.fr
Avec ce roman, on va découvrir un voisinage un peu atypique.
À la suite d'un dégât des eaux, une vieille dame, un peu esseulée, va se retrouver complètement perdue et Ferdinand, le personnage principal, va lui proposer par le biais de ses petits lulus, ses deux petits fils, de l'héberger, au départ pour un temps et plus ou pas.
Ensuite on va découvrir une colocation étonnante et détonante parce que va s'ensuivre l'arrivée d'un ami de Ferdinand qui est veuf, ensuite deux étudiants un peu paumés.
Il y a deux personnages, deux sœurs qui sont un petit peu folles, mais de gentilles folles, de douces folles en fait. On est dans l'idée de la solidarité, de l'entraide.
C'est une écriture qui va dans l'essentiel, assez épurée, mais c'est une écriture qui est facile à lire, dans le bon sens du terme. C'est un bon roman à emporter dans ses valises pour les vacances.
On n'a pas envie de le lâcher parce qu'on est dans cette ferme avec les personnages. Voilà, c'est un roman qui se lit vite, si on aime et qu'on n'a pas envie de lâcher.