Peter James

Peter James

A deux pas de la mort

Portrait 3'42

Philippe Chauveau :
Bonjour Peter James. Merci de nous recevoir chez votre éditeur Fleuve Noir. Votre actualité, votre nouveau polar « A deux pas de la mort » ou on va retrouver l'inspecteur Roy Grace. Avant le livre, il y a eu le cinéma. Vous avez été scénariste, producteur aux Etats-Unis. Comment est née l'aventure du cinéma ? Pourquoi avoir travaillé dans le cinéma ?

Peter James :
Quand j'étais jeune enfant, à l'école, je voulais faire trois choses dans la vie : réaliser des films, écrire des romans et faire des courses de voiture.

Philippe Chauveau :
Vous avez déjà fait le cinéma, vous avez écrit des romans, il reste encore les voitures ou c'est fait ?
Vous êtes collectionneur.

Peter James :
J'ai commencé il y a dix ans avec la Citroën deux chevaux. J'ai fait des courses. J'ai fait cinq fois Silverstone et la course des 24h dans une Citroën deux chevaux.

Philippe Chauveau :
Vous êtes un grand aventurier...

Peter James :
Crazy !

Philippe Chauveau :
Comment êtes-vous passé ensuite du cinéma à l'écriture ?

Peter James :
J'ai fait une école de cinéaste en Angleterre. C'était la première école pour le cinéma et la télévision et j'ai ensuite voyagé au Canada et j'ai trouvé un travail à la télévision. Un jour, le producteur a dit que l'auteur était malade et il n'y avait pas d'épisode pour aujourd'hui. J'ai vu que vous avez gagné un prix de poésie à l'école, pouvez-vous écrire le scénario ?

Philippe Chauveau :
Pendant que vous étiez producteur ou scénariste, vous écriviez déjà ou l'écriture est venue après ?

Peter James :
J'ai commencé à écrire des romans que je réalisai des films et pour moi la chose la plus importante c'est l'écriture. Depuis l'âge de 7-8 ans je veux écrire des polars. A 8 ans, j'ai lu ma première histoire de Sherlock Holmes. Quand j'ai lu ça, je me suis dit qu'un jour je créerai un détective.

Philippe Chauveau :
Comment travaillez-vous pour écrire vos romans, vos polars ? Vous travaillez tout seul ou y-a-t-il aussi un travail de recherche, un travail avec la police ?

Peter James :
Pour moi, la recherche est très importante. Si vous et moi on pars se promener à Paris et que nous voyons deux hommes qui regardent la vitrine d'un magasin, nous penserons qu'ils regardent ce qu'ils veulent acheter. La police va regarder ces deux hommes et se dire « pourquoi ils sont là ? ». Aussi, depuis maintenant vingt ans, je passe une journée par semaine avec la police.

Philippe Chauveau :
Et lorsque vous rencontrer vos lecteurs, quel est le plus beau compliment qu'on puisse vous faire ?

Peter James :
J'ai eu un fantastique compliment du Washington Post qui a dit que le roman « A deux pas de la mort » est le meilleur roman depuis « le silence des agneaux »

Philippe Chauveau :
Merci beaucoup Peter James. Votre actualité, votre nouveau polar ou l'on retrouve votre inspecteur Roy Grace, ça s'appelle « A deux pas de la mort » et c'est aux éditions Fleuve Noir.

Philippe Chauveau :
Bonjour Peter James. Merci de nous recevoir chez votre éditeur Fleuve Noir. Votre actualité, votre nouveau polar « A deux pas de la mort » ou on va retrouver l'inspecteur Roy Grace. Avant le livre, il y a eu le cinéma. Vous avez été scénariste, producteur aux Etats-Unis. Comment est née l'aventure du cinéma ? Pourquoi avoir travaillé dans le cinéma ?

Peter James :
Quand j'étais jeune enfant, à l'école, je voulais faire trois choses dans la vie : réaliser des films, écrire des romans et faire des courses de voiture.

Philippe Chauveau :
Vous avez déjà fait le cinéma, vous avez écrit des romans, il reste encore les voitures ou c'est fait ?
Vous êtes collectionneur.

Peter James :
J'ai commencé il y a dix ans avec la Citroën deux chevaux. J'ai fait des courses. J'ai fait cinq fois Silverstone et la course des 24h dans une Citroën deux chevaux.

Philippe Chauveau :
Vous êtes un grand aventurier...

Peter James :
Crazy !

Philippe Chauveau :
Comment êtes-vous passé ensuite du cinéma à l'écriture ?

Peter James :
J'ai fait une école de cinéaste en Angleterre. C'était la première école pour le cinéma et la télévision et j'ai ensuite voyagé au Canada et j'ai trouvé un travail à la télévision. Un jour, le producteur a dit que l'auteur était malade et il n'y avait pas d'épisode pour aujourd'hui. J'ai vu que vous avez gagné un prix de poésie à l'école, pouvez-vous écrire le scénario ?

Philippe Chauveau :
Pendant que vous étiez producteur ou scénariste, vous écriviez déjà ou l'écriture est venue après ?

Peter James :
J'ai commencé à écrire des romans que je réalisai des films et pour moi la chose la plus importante c'est l'écriture. Depuis l'âge de 7-8 ans je veux écrire des polars. A 8 ans, j'ai lu ma première histoire de Sherlock Holmes. Quand j'ai lu ça, je me suis dit qu'un jour je créerai un détective.

Philippe Chauveau :
Comment travaillez-vous pour écrire vos romans, vos polars ? Vous travaillez tout seul ou y-a-t-il aussi un travail de recherche, un travail avec la police ?

Peter James :
Pour moi, la recherche est très importante. Si vous et moi on pars se promener à Paris et que nous voyons deux hommes qui regardent la vitrine d'un magasin, nous penserons qu'ils regardent ce qu'ils veulent acheter. La police va regarder ces deux hommes et se dire « pourquoi ils sont là ? ». Aussi, depuis maintenant vingt ans, je passe une journée par semaine avec la police.

Philippe Chauveau :
Et lorsque vous rencontrer vos lecteurs, quel est le plus beau compliment qu'on puisse vous faire ?

Peter James :
J'ai eu un fantastique compliment du Washington Post qui a dit que le roman « A deux pas de la mort » est le meilleur roman depuis « le silence des agneaux »

Philippe Chauveau :
Merci beaucoup Peter James. Votre actualité, votre nouveau polar ou l'on retrouve votre inspecteur Roy Grace, ça s'appelle « A deux pas de la mort » et c'est aux éditions Fleuve Noir.

  • PRÉSENTATION
  • PORTRAIT
  • LE LIVRE
  • Né en 1948 à Brighton en Grande-Bretagne, Peter James s'est fait connaître aux Etats-Unis en tant que producteur et scénariste. Mais très vite, l'envie d'écrire s'impose. Il regagne le Royaume-Uni, abandonne le cinéma et se lance dans le polar avec bonheur. Considéré par certains critiques  comme le Stephen King britannique, il a une vingtaine de titres à son actif traduit dans près de 30 langues. La plupart de ses romans ont pour héros récurrent l'enquêteur Roy Grace de la police de Brighton, dont la femme a...A deux pas de la mort de Peter James - Présentation - Suite
    Philippe Chauveau :Bonjour Peter James. Merci de nous recevoir chez votre éditeur Fleuve Noir. Votre actualité, votre nouveau polar « A deux pas de la mort » ou on va retrouver l'inspecteur Roy Grace. Avant le livre, il y a eu le cinéma. Vous avez été scénariste, producteur aux Etats-Unis. Comment est née l'aventure du cinéma ? Pourquoi avoir travaillé dans le cinéma ?Peter James :Quand j'étais jeune enfant, à l'école, je voulais faire trois choses dans la vie : réaliser des films, écrire des romans et faire des courses...A deux pas de la mort de Peter James - Portrait - Suite
    Philippe Chauveau :Peter James, vous publiez aux éditions Fleuve Noir, ce nouveau polar « A deux pas de la mort » ou l'on va retrouver avec plaisir votre enquêteur Roy Grace. Cet enquêteur, on commence à bien le connaître depuis « Comme une tombe » et puis on sait qu'il aime beaucoup la vodka martini, ça fait partie de ses petits pêchés, un peu comme vous paraît-il...Peter James :… Oui, ou moi comme lui.Philippe Chauveau :Quel est le plaisir pour l'auteur que vous êtes de retrouver cet inspecteur à chaque fois ?Peter...A deux pas de la mort de Peter James - Le livre - Suite