Michel de Grèce

Michel de Grèce

Les mystères d'Alexandre le Grand

Le livre 5'39

Votre actualité Michel De Grèce, c'est donc ce livre que vous publiez chez Flammarion, « Les mystère d'Alexandre le Grand ». Voilà un personnage que tout le monde connait sans le connaître finalement.
C'est ce qui m'a le plus intrigué dans l'affaire, parce que tous le monde connait son nom et puis je me suis dit qui est-ce, là-dedans. On connait sa vie mais on ne connait absolument pas l’être humain, le personnage, les contradictions, de quel bois se chauffait-il.
Vous avez rencontré en quelque sorte Alexandre le Grand, j'utilise ce terme de « rencontrer » de manière intentionnel, pourquoi ce personnage vous a t’il toujours fasciné ?
D'abord l'histoire. De partir d'un tout petit royaume au nord de la Grèce, la Macédoine et d'arriver en Inde, tout ça au 4ème siècle avant Jésus Christ, c'est tout de même phénoménal et de conquérir le monde connu et aussi autre chose, c'était un conquérant populaire.
Il est important d'expliquer la genèse de ce livre, il ne s'agit pas d'une biographie classique. Lorsque vous êtes étudiant vous sympathisez avec un historien anglais qui a des dons de médium et ensemble vous parlez d 'Alexandre le Grand.
Et là, il vous fait part de choses étonnantes que vous notez dans des petits carnets et vous ressortez ces carnets après avoir rencontré le journaliste Stéphane Allix, quel est la genèse de cette ouvrage ?
Il y a très très peu de documents concernant Alexandre le Grand, il y a des mystères, il y a des zones d'ombre. Donc qu'est-ce qu'on peut faire ? Il y a l'instinct, pour moi l'instinct est indispensable en histoire, on ne peut pas avancer sans instinct en histoire.
En effet j'ai connu cet historien qui avait un don, je pense fondé sur son érudition, fondé sur l'instinct, je pense fondé sur un don véritable. Donc il m'a parlé d'Alexandre, il me l'a expliqué,
Il est presque entré dans son âme, dans son personnage pour me raconter qui était Alexandre le Grand.
Ce qui est passionnant dans votre ouvrage, ça se lit de la première à la dernière page, ce sont des chapitres assez courts ou vous retracez la vérité historique, ce que l'on sait. Et puis ensuite avec Stéphane Allix ou vous essayez de donner
Une véritable consistance au personnage comme si il était là devant nous.
Le contraste est tellement fort entre la lumière et les ténèbres. C'était un personnage prodigieux, un génie, incroyablement charismatique, qui séduisait les peuples, les foules, les armées et en même temps d'une cruauté inimaginable,
Mais les massacres, les exécutions étaient calculé politiquement donc c'est un personnage très noir aussi hormis son aspect lumineux. Il se sentait unique et poussé par un destin exceptionnel et qu'il fallait assumer ce destin à tout prix.
Même en massacrant à droit et à gauche et le comble c'est qu'il est resté populaire.
Vous évoquez aussi sa relation tumultueuse avec ses parents, le Roi Philippe de Macédoine, sa mère Olympias et peut-être que cette relation a joué dans le parcours.
Tout le monde croit qu'il ne s'entendait pas avec son père, je pense qu'ils s'entendaient beaucoup mieux qu'on ne le croit, l'un et l'autre étaient jaloux mais il y avait tout de même une profonde affection,
Ils avaient tous les deux le même but, l’extension de la Macédoine et la conquête d'un empire.
Il y a encore beaucoup de zones d'ombre sur Alexandre, c'est ça qui vous intéresse ?
Mais plein ! D'abord on ne sait pas où il est enterré, son tombeau a disparu, il y a des zones d'ombre par exemple après la conquête de l'empire Perse, après ça, il se met à errer pendant deux ans en Asie centrale. Pourquoi ? Qu'est-ce qu'il cherchait ? Personne ne le sait.
C'est très curieux, et comme il ne faisait rien au hasard, c'est qu'il avait une idée derrière mais laquelle ?
Vous avez fait le choix de travailler avec Stéphane Allix qui est journaliste et qui s'est spécialisé dans ce que l'on peut appeler les sciences de l'invisible, vous utilisez les notes de cet historien anglais, un petit peu médium.
Vous n'avez pas peur qu'on vous pointe du doigt en disant que ce n'est pas un travail d'historien.
Ca ça m'est complètement égal, franchement soit c'est un ouvrage convaincant soit ça ne l'est pas.
Alexandre le Grand ouvre la porte de ce salon, qu'auriez-vous envie de lui dire ?

Michel de Grèce : Bravo ! Bravo pour tout !
Merci Michel de Grèce de nous avoir reçu, je rappel le titre de votre nouvel ouvrage co-écrit avec Stéphane Allix « Les mystères d'Alexandre le Grand » et vous êtes publiés chez Flammarion.

Philippe Chauveau :
Votre actualité Michel De Grèce, c'est donc ce livre que vous publiez chez Flammarion, « Les mystère d'Alexandre le Grand ». Voilà un personnage que tout le monde connait sans le connaître finalement.

Michel de Grèce :
C'est ce qui m'a le plus intrigué dans l'affaire, parce que tous le monde connait son nom et puis je me suis dit qui est-ce, là-dedans. On connait sa vie mais on ne connait absolument pas l’être humain, le personnage, les contradictions, de quel bois se chauffait-il.

Philippe Chauveau :
Vous avez rencontré en quelque sorte Alexandre le Grand, j'utilise ce terme de « rencontrer » de manière intentionnel, pourquoi ce personnage vous a t’il toujours fasciné ?

Michel de Grèce :
D'abord l'histoire. De partir d'un tout petit royaume au nord de la Grèce, la Macédoine et d'arriver en Inde, tout ça au 4ème siècle avant Jésus Christ, c'est tout de même phénoménal et de conquérir le monde connu et aussi autre chose, c'était un conquérant populaire.

Philippe Chauveau :
Il est important d'expliquer la genèse de ce livre, il ne s'agit pas d'une biographie classique. Lorsque vous êtes étudiant vous sympathisez avec un historien anglais qui a des dons de médium et ensemble vous parlez d 'Alexandre le Grand.
Et là, il vous fait part de choses étonnantes que vous notez dans des petits carnets et vous ressortez ces carnets après avoir rencontré le journaliste Stéphane Allix, quel est la genèse de cette ouvrage ?

Michel de Grèce :
Il y a très très peu de documents concernant Alexandre le Grand, il y a des mystères, il y a des zones d'ombre. Donc qu'est-ce qu'on peut faire ? Il y a l'instinct, pour moi l'instinct est indispensable en histoire, on ne peut pas avancer sans instinct en histoire.
En effet j'ai connu cet historien qui avait un don, je pense fondé sur son érudition, fondé sur l'instinct, je pense fondé sur un don véritable. Donc il m'a parlé d'Alexandre, il me l'a expliqué,
Il est presque entré dans son âme, dans son personnage pour me raconter qui était Alexandre le Grand.

Philippe Chauveau :
Ce qui est passionnant dans votre ouvrage, ça se lit de la première à la dernière page, ce sont des chapitres assez courts ou vous retracez la vérité historique, ce que l'on sait. Et puis ensuite avec Stéphane Allix ou vous essayez de donner
Une véritable consistance au personnage comme si il était là devant nous.

Michel de Grèce :
Le contraste est tellement fort entre la lumière et les ténèbres. C'était un personnage prodigieux, un génie, incroyablement charismatique, qui séduisait les peuples, les foules, les armées et en même temps d'une cruauté inimaginable,
Mais les massacres, les exécutions étaient calculé politiquement donc c'est un personnage très noir aussi hormis son aspect lumineux. Il se sentait unique et poussé par un destin exceptionnel et qu'il fallait assumer ce destin à tout prix.
Même en massacrant à droit et à gauche et le comble c'est qu'il est resté populaire.

Philippe Chauveau :
Vous évoquez aussi sa relation tumultueuse avec ses parents, le Roi Philippe de Macédoine, sa mère Olympias et peut-être que cette relation a joué dans le parcours.

Michel de Grèce :
Tout le monde croit qu'il ne s'entendait pas avec son père, je pense qu'ils s'entendaient beaucoup mieux qu'on ne le croit, l'un et l'autre étaient jaloux mais il y avait tout de même une profonde affection,
Ils avaient tous les deux le même but, l’extension de la Macédoine et la conquête d'un empire.

Philippe Chauveau :
Il y a encore beaucoup de zones d'ombre sur Alexandre, c'est ça qui vous intéresse ?

Michel de Grèce :
Mais plein ! D'abord on ne sait pas où il est enterré, son tombeau a disparu, il y a des zones d'ombre par exemple après la conquête de l'empire Perse, après ça, il se met à errer pendant deux ans en Asie centrale. Pourquoi ? Qu'est-ce qu'il cherchait ? Personne ne le sait.
C'est très curieux, et comme il ne faisait rien au hasard, c'est qu'il avait une idée derrière mais laquelle ?

Philippe Chauveau :
Vous avez fait le choix de travailler avec Stéphane Allix qui est journaliste et qui s'est spécialisé dans ce que l'on peut appeler les sciences de l'invisible, vous utilisez les notes de cet historien anglais, un petit peu médium.
Vous n'avez pas peur qu'on vous pointe du doigt en disant que ce n'est pas un travail d'historien.

Michel de Grèce :
Ca ça m'est complètement égal, franchement soit c'est un ouvrage convaincant soit ça ne l'est pas.

Philippe Chauveau :
Alexandre le Grand ouvre la porte de ce salon, qu'auriez-vous envie de lui dire ?

Michel de Grèce :
Bravo ! Bravo pour tout !

Philippe Chauveau :
Merci Michel de Grèce de nous avoir reçu, je rappel le titre de votre nouvel ouvrage co-écrit avec Stéphane Allix « Les mystères d'Alexandre le Grand » et vous êtes publiés chez Flammarion.

  • PRÉSENTATION
  • PORTRAIT
  • LE LIVRE
  • L'AVIS DU LIBRAIRE
  • Petit fils de roi Georges Ier de Grèce par son père, lié à la famille d'Orléans par sa mère, Michel de Grèce a toujours évolué dans l'univers du gotha. Ayant des cousins dans toutes les cours européennes, régnantes ou nonIl touche chaque jour du doigt la grande histoire et c'est sans doute ce qu'il l'a amené à s'intéresser aux grandes personnalités du passé. En 1970 Michel de Grèce signe son premier ouvrage « Ma sœur l'histoire ne voit tu rien venir ? »Qui préfigure ses écrits futures, « L'envers du soleil »,...Les mystères d'Alexandre le Grand de Michel Grèce (de) - Présentation - Suite
    Philippe Chauveau :Bonjour Michel de Grèce. Merci de nous accueillir, merci de nous recevoir. Votre actualité littéraire, c'est ce livre que vous publiez chez Flammarion en compagnie de Stephane Allix, « Les mystères d'Alexandre le Grand ». On va bien sur revenir sur cet ouvrage,Mais j'aimerais qu'on remonte un peu le fil du temps. J'ai l'impression que vous êtes un personnage de roman ! Votre grand-père était le roi Georges Ier de Grèce, votre mère était la sœur de feu le Comte de Paris.Vous êtes donc affilié à toutes...Les mystères d'Alexandre le Grand de Michel Grèce (de) - Portrait - Suite
    Philippe Chauveau :Votre actualité Michel De Grèce, c'est donc ce livre que vous publiez chez Flammarion, « Les mystère d'Alexandre le Grand ». Voilà un personnage que tout le monde connait sans le connaître finalement.Michel de Grèce :C'est ce qui m'a le plus intrigué dans l'affaire, parce que tous le monde connait son nom et puis je me suis dit qui est-ce, là-dedans. On connait sa vie mais on ne connait absolument pas l’être humain, le personnage, les contradictions, de quel bois se chauffait-il.Philippe Chauveau :Vous...Les mystères d'Alexandre le Grand de Michel Grèce (de) - Le livre - Suite
    Oui je peux dire que je l'aimé comme à peu près tous ce que fait Michel de Grèce depuis de nombreuses années, parce que comme toujours il a d'excellentes idées ou il tire de l'oubli des personnages méconnusOu alors sur des personnages ultra connus comme Alexandre, dont on pense tous savoir, il va prendre une approche originale. En l’occurrence ici il a repris des notes de jeunesse ou il avait rencontré un grand universitaire anglais,A qui il a posé toutes les questions qu'il avait en tête sur Alexandre et qui lui a apporté...Les mystères d'Alexandre le Grand de Michel Grèce (de) - L'avis du libraire - Suite