Patricia MacDonald

Patricia MacDonald

Une nuit, sur la mer

Le livre 4'26
Philippe Chauveau :
Patricia MacDonald, Une nuit, sur la mer, votre nouveau roman chez Albin Michel, dont vous êtes une fidèle pour les éditions françaises. C'est Shelby. Shelby est une femme d'une cinquantaine d'années qui vit à Philadelphie. Elle a élevé seule sa fille Chloé. Chloé est mariée avec Rob. Et elle décide de leur offrir une croisière pendant qu'elle s'occupera de son petit-fils. Oui mais voilà, la croisière vire au cauchemar et Chloé ne reviendra pas. Elle est vraisemblablement passée par-dessus bord. Et Shelby, au-delà de sa douleur, va mener l'enquête.
C'est à la fois l'histoire de Chloé, cette jeune femme qui disparaît, puis l'histoire de Shelby, sa mère qui a envie de connaître la vérité.
Comment est née cette histoire dans votre esprit, votre imagination ?

Patricia MacDonald :
J'ai lu un fait-divers d'une jeune femme qui s'appelait Nelly Allaway. Elle est allée en vacances scolaires à Aruba, aux Caraïbes et elle a disparu. Sa mère est allée à Aruba pour essayer de la trouver et même maintenant, après 5 ans, on n'a pas trouvé son corps. Mais la volonté de sa mère de savoir pourquoi, comment sa fille est morte, cela m'a inspirée beaucoup.

Philippe Chauveau :
Les faits-divers sont souvent pour vous une source d'inspiration ?

Patricia MacDonald :
Toujours ! Parce que je ne peux pas imaginer les crimes que les gens ont commis...

Philippe Chauveau :
Shelby va donc mener l'enquête et ce qui est formidable, c'est que quasiment à chaque page, il y a des rebondissements. Il y a aussi cet environnement, ces paquebots de croisière où l'on monte à 3000, 4000. J'ai l'impression que ça, ce n'est pas trop votre type de vacances, à la façon dont vous en parlez...

Patricia MacDonald :
Je n'ai jamais fait de croisière, moi ! Et si vous remarquez, il n'y a pas une scène sur le bateau !

Philippe Chauveau :
Ce qui est remarquable, c'est que le bateau pourrait être le décor idéal pour votre roman, mais finalement, on ne le dépeint pas, on ne sait pas trop ce qui s'est passé ; on sait qu'il y a des bars tous les 5m !

Patricia MacDonald :
Je n'ai pas voulu décrire la vie sur une croisière, ça ne m'intéresse pas du tout.

Philippe Chauveau :
Ce qui vous a intéressée, c'est la relation entre les personnages : Shelby et Chloé dont on sent dès le départ que la relation est conflictuelle. Pourtant, il y a beaucoup d'amour.

Patricia MacDonald :
Bien sûr mais je crois que les mères pensent souvent bien connaître leur enfant mais quand les enfants deviennent adultes, il y a des secrets partout.

Philippe Chauveau :
Avez-vous des points communs avec Shelby ou au contraire, par rapport aux personnages que vous imaginez, que vous concevez, êtes-vous très éloignée ?

Patricia MacDonald :
Oui, je suis toujours présente dans mes héroïnes ! Elles voient avec mes yeux. C'est parce que je suis une femme que je choisis toujours des héroïnes.

Philippe Chauveau :
Lorsque vous écrivez, vous avez du mal à vous séparer de vos personnages, notamment Shelby ? Est-ce que vous avez eu du mal à mettre le point final du roman ?

Patricia MacDonald :
Pas du tout ! La seule occasion d'avoir un problème, c'est si je commence un roman puis que je le jette ou le mets dans un tiroir. Les personnages me hantent parce que l'histoire n'est pas finie. Mais quand j'ai fini, je pense à la prochaine histoire !

Philippe Chauveau :
Il y a déjà une idée qui germe dans votre tête pour le prochain roman ?

Patricia MacDonald :
Toujours, oui.

Philippe Chauveau :
Merci beaucoup Patricia MacDonald

Patricia MacDonald :
Merci Philippe

Philippe Chauveau :
Que vous partiez en croisière ou que vous restiez chez vous, en tous cas vous allez vous régaler avec ce nouveau suspense imaginé par Patricia MacDonald, Une nuit, sur la mer. C'est chez Albin Michel.
Philippe Chauveau :
Patricia MacDonald, Une nuit, sur la mer, votre nouveau roman chez Albin Michel, dont vous êtes une fidèle pour les éditions françaises. C'est Shelby. Shelby est une femme d'une cinquantaine d'années qui vit à Philadelphie. Elle a élevé seule sa fille Chloé. Chloé est mariée avec Rob. Et elle décide de leur offrir une croisière pendant qu'elle s'occupera de son petit-fils. Oui mais voilà, la croisière vire au cauchemar et Chloé ne reviendra pas. Elle est vraisemblablement passée par-dessus bord. Et Shelby, au-delà de sa douleur, va mener l'enquête.
C'est à la fois l'histoire de Chloé, cette jeune femme qui disparaît, puis l'histoire de Shelby, sa mère qui a envie de connaître la vérité.
Comment est née cette histoire dans votre esprit, votre imagination ?

Patricia MacDonald :
J'ai lu un fait-divers d'une jeune femme qui s'appelait Nelly Allaway. Elle est allée en vacances scolaires à Aruba, aux Caraïbes et elle a disparu. Sa mère est allée à Aruba pour essayer de la trouver et même maintenant, après 5 ans, on n'a pas trouvé son corps. Mais la volonté de sa mère de savoir pourquoi, comment sa fille est morte, cela m'a inspirée beaucoup.

Philippe Chauveau :
Les faits-divers sont souvent pour vous une source d'inspiration ?

Patricia MacDonald :
Toujours ! Parce que je ne peux pas imaginer les crimes que les gens ont commis...

Philippe Chauveau :
Shelby va donc mener l'enquête et ce qui est formidable, c'est que quasiment à chaque page, il y a des rebondissements. Il y a aussi cet environnement, ces paquebots de croisière où l'on monte à 3000, 4000. J'ai l'impression que ça, ce n'est pas trop votre type de vacances, à la façon dont vous en parlez...

Patricia MacDonald :
Je n'ai jamais fait de croisière, moi ! Et si vous remarquez, il n'y a pas une scène sur le bateau !

Philippe Chauveau :
Ce qui est remarquable, c'est que le bateau pourrait être le décor idéal pour votre roman, mais finalement, on ne le dépeint pas, on ne sait pas trop ce qui s'est passé ; on sait qu'il y a des bars tous les 5m !

Patricia MacDonald :
Je n'ai pas voulu décrire la vie sur une croisière, ça ne m'intéresse pas du tout.

Philippe Chauveau :
Ce qui vous a intéressée, c'est la relation entre les personnages : Shelby et Chloé dont on sent dès le départ que la relation est conflictuelle. Pourtant, il y a beaucoup d'amour.

Patricia MacDonald :
Bien sûr mais je crois que les mères pensent souvent bien connaître leur enfant mais quand les enfants deviennent adultes, il y a des secrets partout.

Philippe Chauveau :
Avez-vous des points communs avec Shelby ou au contraire, par rapport aux personnages que vous imaginez, que vous concevez, êtes-vous très éloignée ?

Patricia MacDonald :
Oui, je suis toujours présente dans mes héroïnes ! Elles voient avec mes yeux. C'est parce que je suis une femme que je choisis toujours des héroïnes.

Philippe Chauveau :
Lorsque vous écrivez, vous avez du mal à vous séparer de vos personnages, notamment Shelby ? Est-ce que vous avez eu du mal à mettre le point final du roman ?

Patricia MacDonald :
Pas du tout ! La seule occasion d'avoir un problème, c'est si je commence un roman puis que je le jette ou le mets dans un tiroir. Les personnages me hantent parce que l'histoire n'est pas finie. Mais quand j'ai fini, je pense à la prochaine histoire !

Philippe Chauveau :
Il y a déjà une idée qui germe dans votre tête pour le prochain roman ?

Patricia MacDonald :
Toujours, oui.

Philippe Chauveau :
Merci beaucoup Patricia MacDonald

Patricia MacDonald :
Merci Philippe

Philippe Chauveau :
Que vous partiez en croisière ou que vous restiez chez vous, en tous cas vous allez vous régaler avec ce nouveau suspense imaginé par Patricia MacDonald, Une nuit, sur la mer. C'est chez Albin Michel.

  • PRÉSENTATION
  • PORTRAIT
  • LE LIVRE
  • L'AVIS DU LIBRAIRE
  • En une vingtaine d'années, et en 15 romans, Patricia MacDonald s'est imposé comme l'une des reines du polar et du thriller psychologique. Après avoir été journaliste en presse magazine, c'est finalement le chômage qui la pousse à l'écriture. Bien lui en a pris car dès son 1er titre, Un étranger dans la maison, publié en France en 1985, le succès est au rendez-vous. Mary Higgins Clark et Stephen King eux-mêmes spécialistes du genre salueront le talent de leur nouvelle consœur. Depuis, les titres de Patricia MacDonald sont...Une nuit, sur la mer de Patricia MacDonald - Présentation - Suite
    Philippe Chauveau : Bonjour Patricia MacDonald. Patricia MacDonald : Bonjour Philippe Philippe Chauveau : Une nuit, sur la mer, chez Albin Michel. C'est votre 15ème roman déjà publié en France et j'aimerais que l'on revienne en arrière, avant l'écriture. Vous avez été journaliste, mais encore avant ; l'enfance, l'adolescence… Il y avait un auteur, un titre qui vous ont marquée dans votre adolescence ? Patricia MacDonald : J'ai toujours adoré les polars. Mes premières séries préférées s'appelaient Nancy Drew qui était...Une nuit, sur la mer de Patricia MacDonald - Portrait - Suite
    Philippe Chauveau : Patricia MacDonald, Une nuit, sur la mer, votre nouveau roman chez Albin Michel, dont vous êtes une fidèle pour les éditions françaises. C'est Shelby. Shelby est une femme d'une cinquantaine d'années qui vit à Philadelphie. Elle a élevé seule sa fille Chloé. Chloé est mariée avec Rob. Et elle décide de leur offrir une croisière pendant qu'elle s'occupera de son petit-fils. Oui mais voilà, la croisière vire au cauchemar et Chloé ne reviendra pas. Elle est vraisemblablement passée par-dessus bord. Et...Une nuit, sur la mer de Patricia MacDonald - Le livre - Suite
    La griffe noire Gérard Collard 2, rue de la Varenne 94100 St Maur des Fossés Tél : 01-48-83-67-47 www.la-griffe-noire.com « Dans le dernier polar de Patricia MacDonald, vous allez retrouver tout ce qui fait sa caractéristique, c'est-à-dire la psychologie à la française et la raconteuse d'histoire à l'américaine, l'efficacité, les personnages avec toujours des femmes courageuses, dans le quotidien. On retrouve dans ce polar exactement ce que l'on retrouve dans les autres, c'est-à-dire des scénarios impeccables, des...Une nuit, sur la mer de Patricia MacDonald - L'avis du libraire - Suite