En une vingtaine d'années, et en 15 romans, Patricia MacDonald s'est imposé comme l'une des reines du polar et du thriller psychologique. Après avoir été journaliste en presse magazine, c'est finalement le chômage qui la pousse à l'écriture. Bien lui en a pris car dès son 1er titre, Un étranger dans la maison, publié en France en 1985, le succès est au rendez-vous. Mary Higgins Clark et Stephen King eux-mêmes spécialistes du genre salueront le talent de leur nouvelle consœur.
Depuis, les titres de Patricia MacDonald sont...
Une nuit, sur la mer de Patricia MacDonald - Présentation - Suite
Philippe Chauveau :
Bonjour Patricia MacDonald.
Patricia MacDonald :
Bonjour Philippe
Philippe Chauveau :
Une nuit, sur la mer, chez Albin Michel. C'est votre 15ème roman déjà publié en France et j'aimerais que l'on revienne en arrière, avant l'écriture. Vous avez été journaliste, mais encore avant ; l'enfance, l'adolescence… Il y avait un auteur, un titre qui vous ont marquée dans votre adolescence ?
Patricia MacDonald :
J'ai toujours adoré les polars. Mes premières séries préférées s'appelaient Nancy Drew qui était...
Une nuit, sur la mer de Patricia MacDonald - Portrait - Suite
Philippe Chauveau :
Patricia MacDonald, Une nuit, sur la mer, votre nouveau roman chez Albin Michel, dont vous êtes une fidèle pour les éditions françaises. C'est Shelby. Shelby est une femme d'une cinquantaine d'années qui vit à Philadelphie. Elle a élevé seule sa fille Chloé. Chloé est mariée avec Rob. Et elle décide de leur offrir une croisière pendant qu'elle s'occupera de son petit-fils. Oui mais voilà, la croisière vire au cauchemar et Chloé ne reviendra pas. Elle est vraisemblablement passée par-dessus bord. Et...
Une nuit, sur la mer de Patricia MacDonald - Le livre - Suite
La griffe noire
Gérard Collard
2, rue de la Varenne
94100 St Maur des Fossés
Tél : 01-48-83-67-47
www.la-griffe-noire.com
« Dans le dernier polar de Patricia MacDonald, vous allez retrouver tout ce qui fait sa caractéristique, c'est-à-dire la psychologie à la française et la raconteuse d'histoire à l'américaine, l'efficacité, les personnages avec toujours des femmes courageuses, dans le quotidien.
On retrouve dans ce polar exactement ce que l'on retrouve dans les autres, c'est-à-dire des scénarios impeccables, des...
Une nuit, sur la mer de Patricia MacDonald - L'avis du libraire - Suite
Patricia MacDonald
Une nuit, sur la mer
Présentation 1'01Depuis, les titres de Patricia MacDonald sont traduits un peu partout dans le monde, notamment en Suède ou au Japon et en France, elle a déjà vendu plus d'un million et demi de livres. Une nuit, sur la mer, son nouvel opus raconte la lutte acharnée d'une mère cherchant à comprendre comment sa fille a pu disparaître une nuit, sur un paquebot de croisière. Suspense, rebondissements permanents, personnages à la fois attachants mais énigmatiques, tous les ingrédients sont réunis pour vous faire frissonner de plaisir.
Une nuit, sur la mer, aux éditions Albin Michel, le nouveau titre de Patricia MacDonald.
Depuis, les titres de Patricia MacDonald sont traduits un peu partout dans le monde, notamment en Suède ou au Japon et en France, elle a déjà vendu plus d'un million et demi de livres. Une nuit, sur la mer, son nouvel opus raconte la lutte acharnée d'une mère cherchant à comprendre comment sa fille a pu disparaître une nuit, sur un paquebot de croisière. Suspense, rebondissements permanents, personnages à la fois attachants mais énigmatiques, tous les ingrédients sont réunis pour vous faire frissonner de plaisir.
Une nuit, sur la mer, aux éditions Albin Michel, le nouveau titre de Patricia MacDonald.
Patricia MacDonald
Une nuit, sur la mer
Portrait 3'29Bonjour Patricia MacDonald.
Patricia MacDonald :
Bonjour Philippe
Philippe Chauveau :
Une nuit, sur la mer, chez Albin Michel. C'est votre 15ème roman déjà publié en France et j'aimerais que l'on revienne en arrière, avant l'écriture. Vous avez été journaliste, mais encore avant ; l'enfance, l'adolescence… Il y avait un auteur, un titre qui vous ont marquée dans votre adolescence ?
Patricia MacDonald :
J'ai toujours adoré les polars. Mes premières séries préférées s'appelaient Nancy Drew qui était une jeune fille détective. J'ai voulu être Nancy Drew ! J'ai tout lu… Puis Agatha Christie ! Mais j'ai toujours eu le goût pour cette littérature.
Philippe Chauveau :
Dans les années 80, Expiation, Un étranger dans la maison, le 1er roman publié en France en 1985. Comment s'est fait la transition entre le journalisme et l'écriture ?
Patricia MacDonald :
Le chômage ! J'ai perdu mon travail parce que je travaillais sur les magazines qui s'occupaient des feuilletons télévisés et on a fermé les magazines. Donc chômage et je n'avais pas d'argent. Une amie m'a proposé de créer un roman ensemble. C'est pour passer le temps que j'ai commencé comme écrivain.
Philippe Chauveau :
Cela veut dire que vous vous êtes alors finalement découvert ce talent d'écriture ?
Patricia MacDonald :
Oui ! J'ai découvert quelque chose qui me plaisait beaucoup mais pour moi, c'était une sorte de jeu en un sens parce que je n'avais jamais prévu qu'on allait vendre mes livres.
Philippe Chauveau :
Et depuis, quel succès ! Vous êtes traduite un peu partout dans le monde, en finlandais, en chinois, en français bien sûr… Vous avez vendu plus d'1,5 million de livres en France. Mais pourquoi avoir choisi le polar, le thriller psychologique ? Vous aimez faire peur ou vous aimez avoir peur?
Patricia MacDonald :
Quand j'écris, je ne pense pas à faire peur, vraiment. Je raconte une histoire. Mais il y a toujours un crime, un meurtre et on me dit que l'on a peur quand on lit mes romans. Moi, je pense aux personnages et la peur émerge.
Philippe Chauveau :
C'est ce qui fait aussi le charme et l'atout de vos ouvrages. C'est vrai que vos personnages ont tous une densité psychologique. C'est le cas par exemple de Shelby dans ce nouveau roman. Vous aimez aller au plus profond de vos personnages pour montrer que leur vie bascule ?
Patricia MacDonald :
La vie peut basculer en un instant et c'est toujours comme ça ! Un coup de fil et votre vie est changée… Pour moi, c'est terrifiant, l'idée de cela est terrifiante. Et c'est ça qui est toujours dans mes romans.
Philippe Chauveau :
On sait que vous aimez aller à la rencontre de vos lecteurs, en librairies ou dans des salons. Quel est le plus beau compliment qu'un lecteur ou qu'une lectrice pourrait ou vous aurait déjà fait ?
Patricia MacDonald :
« Je ne pouvais pas dormir hier soir parce que j'ai dû finir votre roman »… Pour moi, je suis très contente quand j'entends cela !
Philippe Chauveau :
Merci beaucoup Patricia MacDonald. Si vous avez envie d'une nuit blanche, le nouveau livre de Patricia MacDonald chez Albin Michel, Une nuit sur la mer.
Bonjour Patricia MacDonald.
Patricia MacDonald :
Bonjour Philippe
Philippe Chauveau :
Une nuit, sur la mer, chez Albin Michel. C'est votre 15ème roman déjà publié en France et j'aimerais que l'on revienne en arrière, avant l'écriture. Vous avez été journaliste, mais encore avant ; l'enfance, l'adolescence… Il y avait un auteur, un titre qui vous ont marquée dans votre adolescence ?
Patricia MacDonald :
J'ai toujours adoré les polars. Mes premières séries préférées s'appelaient Nancy Drew qui était une jeune fille détective. J'ai voulu être Nancy Drew ! J'ai tout lu… Puis Agatha Christie ! Mais j'ai toujours eu le goût pour cette littérature.
Philippe Chauveau :
Dans les années 80, Expiation, Un étranger dans la maison, le 1er roman publié en France en 1985. Comment s'est fait la transition entre le journalisme et l'écriture ?
Patricia MacDonald :
Le chômage ! J'ai perdu mon travail parce que je travaillais sur les magazines qui s'occupaient des feuilletons télévisés et on a fermé les magazines. Donc chômage et je n'avais pas d'argent. Une amie m'a proposé de créer un roman ensemble. C'est pour passer le temps que j'ai commencé comme écrivain.
Philippe Chauveau :
Cela veut dire que vous vous êtes alors finalement découvert ce talent d'écriture ?
Patricia MacDonald :
Oui ! J'ai découvert quelque chose qui me plaisait beaucoup mais pour moi, c'était une sorte de jeu en un sens parce que je n'avais jamais prévu qu'on allait vendre mes livres.
Philippe Chauveau :
Et depuis, quel succès ! Vous êtes traduite un peu partout dans le monde, en finlandais, en chinois, en français bien sûr… Vous avez vendu plus d'1,5 million de livres en France. Mais pourquoi avoir choisi le polar, le thriller psychologique ? Vous aimez faire peur ou vous aimez avoir peur?
Patricia MacDonald :
Quand j'écris, je ne pense pas à faire peur, vraiment. Je raconte une histoire. Mais il y a toujours un crime, un meurtre et on me dit que l'on a peur quand on lit mes romans. Moi, je pense aux personnages et la peur émerge.
Philippe Chauveau :
C'est ce qui fait aussi le charme et l'atout de vos ouvrages. C'est vrai que vos personnages ont tous une densité psychologique. C'est le cas par exemple de Shelby dans ce nouveau roman. Vous aimez aller au plus profond de vos personnages pour montrer que leur vie bascule ?
Patricia MacDonald :
La vie peut basculer en un instant et c'est toujours comme ça ! Un coup de fil et votre vie est changée… Pour moi, c'est terrifiant, l'idée de cela est terrifiante. Et c'est ça qui est toujours dans mes romans.
Philippe Chauveau :
On sait que vous aimez aller à la rencontre de vos lecteurs, en librairies ou dans des salons. Quel est le plus beau compliment qu'un lecteur ou qu'une lectrice pourrait ou vous aurait déjà fait ?
Patricia MacDonald :
« Je ne pouvais pas dormir hier soir parce que j'ai dû finir votre roman »… Pour moi, je suis très contente quand j'entends cela !
Philippe Chauveau :
Merci beaucoup Patricia MacDonald. Si vous avez envie d'une nuit blanche, le nouveau livre de Patricia MacDonald chez Albin Michel, Une nuit sur la mer.
Patricia MacDonald
Une nuit, sur la mer
Le livre 4'26Patricia MacDonald, Une nuit, sur la mer, votre nouveau roman chez Albin Michel, dont vous êtes une fidèle pour les éditions françaises. C'est Shelby. Shelby est une femme d'une cinquantaine d'années qui vit à Philadelphie. Elle a élevé seule sa fille Chloé. Chloé est mariée avec Rob. Et elle décide de leur offrir une croisière pendant qu'elle s'occupera de son petit-fils. Oui mais voilà, la croisière vire au cauchemar et Chloé ne reviendra pas. Elle est vraisemblablement passée par-dessus bord. Et Shelby, au-delà de sa douleur, va mener l'enquête.
C'est à la fois l'histoire de Chloé, cette jeune femme qui disparaît, puis l'histoire de Shelby, sa mère qui a envie de connaître la vérité.
Comment est née cette histoire dans votre esprit, votre imagination ?
Patricia MacDonald :
J'ai lu un fait-divers d'une jeune femme qui s'appelait Nelly Allaway. Elle est allée en vacances scolaires à Aruba, aux Caraïbes et elle a disparu. Sa mère est allée à Aruba pour essayer de la trouver et même maintenant, après 5 ans, on n'a pas trouvé son corps. Mais la volonté de sa mère de savoir pourquoi, comment sa fille est morte, cela m'a inspirée beaucoup.
Philippe Chauveau :
Les faits-divers sont souvent pour vous une source d'inspiration ?
Patricia MacDonald :
Toujours ! Parce que je ne peux pas imaginer les crimes que les gens ont commis...
Philippe Chauveau :
Shelby va donc mener l'enquête et ce qui est formidable, c'est que quasiment à chaque page, il y a des rebondissements. Il y a aussi cet environnement, ces paquebots de croisière où l'on monte à 3000, 4000. J'ai l'impression que ça, ce n'est pas trop votre type de vacances, à la façon dont vous en parlez...
Patricia MacDonald :
Je n'ai jamais fait de croisière, moi ! Et si vous remarquez, il n'y a pas une scène sur le bateau !
Philippe Chauveau :
Ce qui est remarquable, c'est que le bateau pourrait être le décor idéal pour votre roman, mais finalement, on ne le dépeint pas, on ne sait pas trop ce qui s'est passé ; on sait qu'il y a des bars tous les 5m !
Patricia MacDonald :
Je n'ai pas voulu décrire la vie sur une croisière, ça ne m'intéresse pas du tout.
Philippe Chauveau :
Ce qui vous a intéressée, c'est la relation entre les personnages : Shelby et Chloé dont on sent dès le départ que la relation est conflictuelle. Pourtant, il y a beaucoup d'amour.
Patricia MacDonald :
Bien sûr mais je crois que les mères pensent souvent bien connaître leur enfant mais quand les enfants deviennent adultes, il y a des secrets partout.
Philippe Chauveau :
Avez-vous des points communs avec Shelby ou au contraire, par rapport aux personnages que vous imaginez, que vous concevez, êtes-vous très éloignée ?
Patricia MacDonald :
Oui, je suis toujours présente dans mes héroïnes ! Elles voient avec mes yeux. C'est parce que je suis une femme que je choisis toujours des héroïnes.
Philippe Chauveau :
Lorsque vous écrivez, vous avez du mal à vous séparer de vos personnages, notamment Shelby ? Est-ce que vous avez eu du mal à mettre le point final du roman ?
Patricia MacDonald :
Pas du tout ! La seule occasion d'avoir un problème, c'est si je commence un roman puis que je le jette ou le mets dans un tiroir. Les personnages me hantent parce que l'histoire n'est pas finie. Mais quand j'ai fini, je pense à la prochaine histoire !
Philippe Chauveau :
Il y a déjà une idée qui germe dans votre tête pour le prochain roman ?
Patricia MacDonald :
Toujours, oui.
Philippe Chauveau :
Merci beaucoup Patricia MacDonald
Patricia MacDonald :
Merci Philippe
Philippe Chauveau :
Que vous partiez en croisière ou que vous restiez chez vous, en tous cas vous allez vous régaler avec ce nouveau suspense imaginé par Patricia MacDonald, Une nuit, sur la mer. C'est chez Albin Michel.
Patricia MacDonald, Une nuit, sur la mer, votre nouveau roman chez Albin Michel, dont vous êtes une fidèle pour les éditions françaises. C'est Shelby. Shelby est une femme d'une cinquantaine d'années qui vit à Philadelphie. Elle a élevé seule sa fille Chloé. Chloé est mariée avec Rob. Et elle décide de leur offrir une croisière pendant qu'elle s'occupera de son petit-fils. Oui mais voilà, la croisière vire au cauchemar et Chloé ne reviendra pas. Elle est vraisemblablement passée par-dessus bord. Et Shelby, au-delà de sa douleur, va mener l'enquête.
C'est à la fois l'histoire de Chloé, cette jeune femme qui disparaît, puis l'histoire de Shelby, sa mère qui a envie de connaître la vérité.
Comment est née cette histoire dans votre esprit, votre imagination ?
Patricia MacDonald :
J'ai lu un fait-divers d'une jeune femme qui s'appelait Nelly Allaway. Elle est allée en vacances scolaires à Aruba, aux Caraïbes et elle a disparu. Sa mère est allée à Aruba pour essayer de la trouver et même maintenant, après 5 ans, on n'a pas trouvé son corps. Mais la volonté de sa mère de savoir pourquoi, comment sa fille est morte, cela m'a inspirée beaucoup.
Philippe Chauveau :
Les faits-divers sont souvent pour vous une source d'inspiration ?
Patricia MacDonald :
Toujours ! Parce que je ne peux pas imaginer les crimes que les gens ont commis...
Philippe Chauveau :
Shelby va donc mener l'enquête et ce qui est formidable, c'est que quasiment à chaque page, il y a des rebondissements. Il y a aussi cet environnement, ces paquebots de croisière où l'on monte à 3000, 4000. J'ai l'impression que ça, ce n'est pas trop votre type de vacances, à la façon dont vous en parlez...
Patricia MacDonald :
Je n'ai jamais fait de croisière, moi ! Et si vous remarquez, il n'y a pas une scène sur le bateau !
Philippe Chauveau :
Ce qui est remarquable, c'est que le bateau pourrait être le décor idéal pour votre roman, mais finalement, on ne le dépeint pas, on ne sait pas trop ce qui s'est passé ; on sait qu'il y a des bars tous les 5m !
Patricia MacDonald :
Je n'ai pas voulu décrire la vie sur une croisière, ça ne m'intéresse pas du tout.
Philippe Chauveau :
Ce qui vous a intéressée, c'est la relation entre les personnages : Shelby et Chloé dont on sent dès le départ que la relation est conflictuelle. Pourtant, il y a beaucoup d'amour.
Patricia MacDonald :
Bien sûr mais je crois que les mères pensent souvent bien connaître leur enfant mais quand les enfants deviennent adultes, il y a des secrets partout.
Philippe Chauveau :
Avez-vous des points communs avec Shelby ou au contraire, par rapport aux personnages que vous imaginez, que vous concevez, êtes-vous très éloignée ?
Patricia MacDonald :
Oui, je suis toujours présente dans mes héroïnes ! Elles voient avec mes yeux. C'est parce que je suis une femme que je choisis toujours des héroïnes.
Philippe Chauveau :
Lorsque vous écrivez, vous avez du mal à vous séparer de vos personnages, notamment Shelby ? Est-ce que vous avez eu du mal à mettre le point final du roman ?
Patricia MacDonald :
Pas du tout ! La seule occasion d'avoir un problème, c'est si je commence un roman puis que je le jette ou le mets dans un tiroir. Les personnages me hantent parce que l'histoire n'est pas finie. Mais quand j'ai fini, je pense à la prochaine histoire !
Philippe Chauveau :
Il y a déjà une idée qui germe dans votre tête pour le prochain roman ?
Patricia MacDonald :
Toujours, oui.
Philippe Chauveau :
Merci beaucoup Patricia MacDonald
Patricia MacDonald :
Merci Philippe
Philippe Chauveau :
Que vous partiez en croisière ou que vous restiez chez vous, en tous cas vous allez vous régaler avec ce nouveau suspense imaginé par Patricia MacDonald, Une nuit, sur la mer. C'est chez Albin Michel.
Patricia MacDonald
Une nuit, sur la mer
L'avis du libraire 0'52Gérard Collard
2, rue de la Varenne
94100 St Maur des Fossés
Tél : 01-48-83-67-47
www.la-griffe-noire.com
« Dans le dernier polar de Patricia MacDonald, vous allez retrouver tout ce qui fait sa caractéristique, c'est-à-dire la psychologie à la française et la raconteuse d'histoire à l'américaine, l'efficacité, les personnages avec toujours des femmes courageuses, dans le quotidien.
On retrouve dans ce polar exactement ce que l'on retrouve dans les autres, c'est-à-dire des scénarios impeccables, des personnages dérangeants, une psychologie très fouillée, c'est-à-dire qu'elle est très spécialiste de la psychanalyse, de la psychologie, ce qui est relativement rare dans le polar américain qui est souvent beaucoup plus efficace. Vraiment, ce côté de film, ce sont des polars filmiques pour ainsi dire ».
Gérard Collard
2, rue de la Varenne
94100 St Maur des Fossés
Tél : 01-48-83-67-47
www.la-griffe-noire.com
« Dans le dernier polar de Patricia MacDonald, vous allez retrouver tout ce qui fait sa caractéristique, c'est-à-dire la psychologie à la française et la raconteuse d'histoire à l'américaine, l'efficacité, les personnages avec toujours des femmes courageuses, dans le quotidien.
On retrouve dans ce polar exactement ce que l'on retrouve dans les autres, c'est-à-dire des scénarios impeccables, des personnages dérangeants, une psychologie très fouillée, c'est-à-dire qu'elle est très spécialiste de la psychanalyse, de la psychologie, ce qui est relativement rare dans le polar américain qui est souvent beaucoup plus efficace. Vraiment, ce côté de film, ce sont des polars filmiques pour ainsi dire ».