Si c’est en 2017 que l’on a réellement découvert Emmanuelle Favier en tant que romancière avec « Le courage qu’il faut aux rivières », il ne faudrait pas oublier que la jeune femme est aussi novelliste, essayiste et que la poésie fait également partie de son écriture. C’est ainsi qu’il y eut, « Confession des genres », « A chaque pas une odeur » ou « Le point au soleil » qui l’avaient déjà fait remarquer des libraires et des critiques.
Après ce premier roman sur le thème des femmes jurées, ces...
Ecouter les eaux vives d'Emmanuelle Favier - Présentation - Suite
Si c’est en 2017 que l’on a réellement découvert Emmanuelle Favier en tant que romancière avec « Le courage qu’il faut aux rivières », il ne faudrait pas oublier que la jeune femme est aussi novelliste, essayiste et que la poésie fait également partie de son écriture. C’est ainsi qu’il y eut, « Confession des genres », « A chaque pas une odeur » ou « Le point au soleil » qui l’avaient déjà fait remarquer des libraires et des critiques.
Après ce premier roman sur le thème des femmes jurées, ces...
Ecouter les eaux vives d'Emmanuelle Favier - Portrait - Suite
Si c’est en 2017 que l’on a réellement découvert Emmanuelle Favier en tant que romancière avec « Le courage qu’il faut aux rivières », il ne faudrait pas oublier que la jeune femme est aussi novelliste, essayiste et que la poésie fait également partie de son écriture. C’est ainsi qu’il y eut, « Confession des genres », « A chaque pas une odeur » ou « Le point au soleil » qui l’avaient déjà fait remarquer des libraires et des critiques.
Après ce premier roman sur le thème des femmes jurées, ces...
Ecouter les eaux vives d'Emmanuelle Favier - Livre - Suite
Emmanuelle Favier
Ecouter les eaux vives
Présentation 00'02'49"Si c’est en 2017 que l’on a réellement découvert Emmanuelle Favier en tant que romancière avec « Le courage qu’il faut aux rivières », il ne faudrait pas oublier que la jeune femme est aussi novelliste, essayiste et que la poésie fait également partie de son écriture. C’est ainsi qu’il y eut, « Confession des genres », « A chaque pas une odeur » ou « Le point au soleil » qui l’avaient déjà fait remarquer des libraires et des critiques.
Après ce premier roman sur le thème des femmes jurées, ces femmes albanaises qui font le choix de la tradition séculaire de vivre au masculin, Emmanuelle Favier enchaine avec « Virginia » roman dans lequel elle raconte Virginia Woolf avant Virginia Woolf puis « Le livre de Rose », roman librement inspiré de la vie Rose Valland, cette femme, attachée de conservation au musée du Jeu de Paume et qui, durant la seconde guerre mondiale, sauva de nombreuses œuvres d’art. Dans cette bibliographie déjà riche, on citera aussi pêle-mêle « La part des cendres » ou encore « Les funérailles de Roberto Bolanio »
Avec « Ecouter les eaux vives », qui sort en ce début d’année 2025, l’autrice fait le choix d’un vrai personnage de fiction, Adrian Ramsay. La jeune femme est oreille dans un sous-marin de la Royal Navy, à savoir qu’elle n’a pas son pareil pour écouter les profondeurs de l’océan et déceler le moindre danger qu’y pourrait s’y cacher.
Cette vie qu’elle a choisie est aussi pour Adrian le moyen de mettre entre parenthèse sa vie de femme et de créer une distance avec son père, aveugle, qu’elle ne retrouver que lors de ses rares retours sur la terre ferme.
Mais la mort de ce dernier va être comme un électrochoc pour Adrtian qui prend conscience du vide abyssal de sa vie personnelle. Des côtes écossaises à celles de la Bretagne, là voilà du côté de Brest où Adrian va rencontrer Abel. Cet homme, atteint de cécité comme l’était son père, aussi beau que déconcertant, va bouleverser l’ordre établi du quotidien d’Adrian. Mais dans ce duo s’immisce aussi Arthur, observateur impuissant de la passion amoureuse dévastatrice dans laquelle Adrian va sombrer.
Avec une écriture puissante, évocatrice, violente parfois, Emmanuelle Favier nous raconte ces trois A, ces trois destins que sont Adrian, Abel, Arthur. Trois vies façonnées par l’océan, trois êtres qui cherchent à se construire sans y parvenir jamais. Un roman balayé par les embruns de la mer, profondément marqué par les ambiances, que l’on soit dans un sous-marin nucléaire, aux côtés d’Adrian, au plus profond des océans, dans la lande écossaise ou sur les côtes bretonnes.
« Ecouter les eaux vives » d’Emmanuelle Favier est publié chez Albin Michel.
Emmanuelle Favier
Ecouter les eaux vives
Portrait 00'06'27"Si c’est en 2017 que l’on a réellement découvert Emmanuelle Favier en tant que romancière avec « Le courage qu’il faut aux rivières », il ne faudrait pas oublier que la jeune femme est aussi novelliste, essayiste et que la poésie fait également partie de son écriture. C’est ainsi qu’il y eut, « Confession des genres », « A chaque pas une odeur » ou « Le point au soleil » qui l’avaient déjà fait remarquer des libraires et des critiques.
Après ce premier roman sur le thème des femmes jurées, ces femmes albanaises qui font le choix de la tradition séculaire de vivre au masculin, Emmanuelle Favier enchaine avec « Virginia » roman dans lequel elle raconte Virginia Woolf avant Virginia Woolf puis « Le livre de Rose », roman librement inspiré de la vie Rose Valland, cette femme, attachée de conservation au musée du Jeu de Paume et qui, durant la seconde guerre mondiale, sauva de nombreuses œuvres d’art. Dans cette bibliographie déjà riche, on citera aussi pêle-mêle « La part des cendres » ou encore « Les funérailles de Roberto Bolanio »
Avec « Ecouter les eaux vives », qui sort en ce début d’année 2025, l’autrice fait le choix d’un vrai personnage de fiction, Adrian Ramsay. La jeune femme est oreille dans un sous-marin de la Royal Navy, à savoir qu’elle n’a pas son pareil pour écouter les profondeurs de l’océan et déceler le moindre danger qu’y pourrait s’y cacher.
Cette vie qu’elle a choisie est aussi pour Adrian le moyen de mettre entre parenthèse sa vie de femme et de créer une distance avec son père, aveugle, qu’elle ne retrouver que lors de ses rares retours sur la terre ferme.
Mais la mort de ce dernier va être comme un électrochoc pour Adrtian qui prend conscience du vide abyssal de sa vie personnelle. Des côtes écossaises à celles de la Bretagne, là voilà du côté de Brest où Adrian va rencontrer Abel. Cet homme, atteint de cécité comme l’était son père, aussi beau que déconcertant, va bouleverser l’ordre établi du quotidien d’Adrian. Mais dans ce duo s’immisce aussi Arthur, observateur impuissant de la passion amoureuse dévastatrice dans laquelle Adrian va sombrer.
Avec une écriture puissante, évocatrice, violente parfois, Emmanuelle Favier nous raconte ces trois A, ces trois destins que sont Adrian, Abel, Arthur. Trois vies façonnées par l’océan, trois êtres qui cherchent à se construire sans y parvenir jamais. Un roman balayé par les embruns de la mer, profondément marqué par les ambiances, que l’on soit dans un sous-marin nucléaire, aux côtés d’Adrian, au plus profond des océans, dans la lande écossaise ou sur les côtes bretonnes.
« Ecouter les eaux vives » d’Emmanuelle Favier est publié chez Albin Michel.
Emmanuelle Favier
Ecouter les eaux vives
Livre 00'08'57"Si c’est en 2017 que l’on a réellement découvert Emmanuelle Favier en tant que romancière avec « Le courage qu’il faut aux rivières », il ne faudrait pas oublier que la jeune femme est aussi novelliste, essayiste et que la poésie fait également partie de son écriture. C’est ainsi qu’il y eut, « Confession des genres », « A chaque pas une odeur » ou « Le point au soleil » qui l’avaient déjà fait remarquer des libraires et des critiques.
Après ce premier roman sur le thème des femmes jurées, ces femmes albanaises qui font le choix de la tradition séculaire de vivre au masculin, Emmanuelle Favier enchaine avec « Virginia » roman dans lequel elle raconte Virginia Woolf avant Virginia Woolf puis « Le livre de Rose », roman librement inspiré de la vie Rose Valland, cette femme, attachée de conservation au musée du Jeu de Paume et qui, durant la seconde guerre mondiale, sauva de nombreuses œuvres d’art. Dans cette bibliographie déjà riche, on citera aussi pêle-mêle « La part des cendres » ou encore « Les funérailles de Roberto Bolanio »
Avec « Ecouter les eaux vives », qui sort en ce début d’année 2025, l’autrice fait le choix d’un vrai personnage de fiction, Adrian Ramsay. La jeune femme est oreille dans un sous-marin de la Royal Navy, à savoir qu’elle n’a pas son pareil pour écouter les profondeurs de l’océan et déceler le moindre danger qu’y pourrait s’y cacher.
Cette vie qu’elle a choisie est aussi pour Adrian le moyen de mettre entre parenthèse sa vie de femme et de créer une distance avec son père, aveugle, qu’elle ne retrouver que lors de ses rares retours sur la terre ferme.
Mais la mort de ce dernier va être comme un électrochoc pour Adrtian qui prend conscience du vide abyssal de sa vie personnelle. Des côtes écossaises à celles de la Bretagne, là voilà du côté de Brest où Adrian va rencontrer Abel. Cet homme, atteint de cécité comme l’était son père, aussi beau que déconcertant, va bouleverser l’ordre établi du quotidien d’Adrian. Mais dans ce duo s’immisce aussi Arthur, observateur impuissant de la passion amoureuse dévastatrice dans laquelle Adrian va sombrer.
Avec une écriture puissante, évocatrice, violente parfois, Emmanuelle Favier nous raconte ces trois A, ces trois destins que sont Adrian, Abel, Arthur. Trois vies façonnées par l’océan, trois êtres qui cherchent à se construire sans y parvenir jamais. Un roman balayé par les embruns de la mer, profondément marqué par les ambiances, que l’on soit dans un sous-marin nucléaire, aux côtés d’Adrian, au plus profond des océans, dans la lande écossaise ou sur les côtes bretonnes.
« Ecouter les eaux vives » d’Emmanuelle Favier est publié chez Albin Michel.